Walden Macnair Membre de l'Ombre Nombre de messages : 21Date d'inscription : 17/05/2014Race : Loup-GarouClasse sociale : OuvrièreEmploi/loisirs : Activités criminellesAge : 495 ansAge (apparence) : 30 ansRésistance mentale : 5/5 Sujet: Walden Macnair Jeu 22 Mai - 0:20 Walden Macnair
Fiche d'identité Nom
MacnairPrénom
WaldenSexe
HommeÂge réel
495 ansÂge d'apparence
30 ansOrigine
ÉcossaisClasse sociale
OuvrièreEmploi
Activités criminelles, ancien bourreauRace Loup-Garou
Résistance mentale
5/5 Capacités spéciales (liées à la race)
La transformation se fait lors de la pleine lune, de sa phase montante à sa phase descendante soit trois nuits par mois. Celle-ci a une influence sur le comportement du loup-garou, dans sa forme humaine. Si la pleine lune exerce un certain pouvoir sur le commun des mortels, pour les loups-garous c’est pire. C’est particulièrement vrai pour Macnair dont l’agressivité déjà naturelle, est décuplée à l’approche de la pleine lune. Le passage de la forme humaine à la forme lupine se fait dans la douleur. Les os humains se brisent les uns après les autres pour se ressouder dans leur nouvelle forme. Les vêtements n’y résistent pas et finissent en lambeaux s’ils n’ont pas été retirés avant le début du processus. Le loup-garou a une silhouette mi homme-mi loup. Sa taille peut atteindre les 3 mètres de haut. Ses sens sont surdéveloppés et il possède de nouvelles capacités : puissance musculaire, agilité, ruse et férocité. Ses griffes sont allongées et leurs dents sont tranchantes comme des rasoirs. Il traque ses victimes sans relâche et les dévore la plupart du temps. Il réagit essentiellement à l’instinct. Bien que très résistant, le loup-garou ne se régénère pas. Il conserve les blessures infligées une fois de retour dans sa forme humaine mais elles sont atténuées. Ses points faibles : les armes en argent et le sel qui le repousse.Description physique Taille
1,75 mPoids
68 kgYeux
DorésCheveux
Noir corbeau, souvent ébouriffés Description détaillée
Sa silhouette est musclée, son visage est taillé à la serpe, anguleux. Ses yeux dorés reflètent une lueur cruelle, ses cheveux noirs sont ébouriffés, indomptables. Il apparaît souvent avec une barde de trois jours. Bien qu'il ne soit pas du genre à prendre soin de lui, Macnair n'est pas négligé pour autant. Mais il se contente du strict minimum. Sa nature de loup-garou lui dégage un côté animal dangereusement attirant.Vêtements
Vêtements de la classe ouvrière, exclusivement noirs. La plupart du temps, il se contente d'une simple chemise noire, souvent ouverte, un pantalon basique ainsi que de grosses chaussures de cuir. Particularités
Une cicatrice lui barre l’œil gauche, souvenir d'un coup de griffe. Il a également conservé la cicatrice de la morsure de son créateur à l'épaule gauche.Caractère En tant qu'homme
On peut dire que Macnair a mauvais caractère. Rusé, vindicatif, agressif et ombrageux, il est cependant d'une extrême loyauté et ne renonce jamais. Il atteint toujours les objectifs qu'il s'est fixés. Son caractère en tant qu'humain est fortement influencé par sa nature de loup-garou. En tant que Loup-Garou
En tant que loup-garou, Macnair est particulièrement vicieux. Malgré une grande force de contrôle due à des années de transformation, il aime lâcher prise et laisser le loup prendre le dessus. Son expérience et ses pouvoirs en fait un adversaire particulièrement coriace. Loisirs
Lorsqu'il n'est pas occupé à quelque activité criminelle, Macnair aime s'occuper de ses armes, boire et courir la gueuse. Religion
AgnostiqueQualités
Persévérant, loyal, ruséDéfauts
Vindicatif, agressif, ombrageuxBackground Résumé
Macnair est probablement l'un des plus vieux loups-garous qui existent. Issu du Moyen Age, il fut mordu par l'un des descendants directs des premiers loups-garous, Lucius, qui lui confia la mission de perpétuer la lignée, chose à laquelle Macnair n'accorde pour le moment pas d'importance. Du fait de son héritage, Macnair a reçu le don de longévité ce qui lui a permis de traverser les âges et d'acquérir une parfaite maîtrise de sa conscience. Ses autres dons, dont notamment son insensibilité à la douleur et ses griffes hors normes, lui confèrent de dangereuses aptitudes au combat. Ancien bourreau, il a actuellement repris ses activités criminelles et occupe une place importante dans le monde de la nuit, que ce soit parmi les truands ou les loups-garous, ce qui génèrent de nombreuses rivalités et guerres de clans. Enfance
Né dans la campagne écossaise du Moyen Age, alors ravagée par la peste noire, Macnair a eu une enfance courte et difficile, basée sur la survie. Ce le fut davantage à la mort de sa mère, dans sa septième année. Poussé par son père qui n'éprouvait aucune once d'affection pour lui, il dût se lancer d'abord dans le braconnage puis dans la criminalité afin de prêter main forte à son paternel dans ses activités illégales.Éducation
- La musique: R.A.S - Les sciences: R.A.S - L'Alchimie: R.A.S - Les langues: anglais écossais, langues celtiques Macnair appartenant à la classe ouvrière, il n'a jamais reçu d'éducation digne de ce nom. Il n'a que les bases. Il parle cependant les langues ayant eu cours en Écosse au fil du temps.Histoire
Spoiler: 1347. L’Europe est alors décimée par la peste noire. Mais un autre fléau est sur le point de frapper le Vieux Continent. Un fléau plus insidieux, dont le potentiel destructeur ne se réaliserait que quelques années plus tard. Mais peu importe, le mal était déjà à l’oeuvre, préparant sa lente ascension. 1347. C’est en cette année que Walden Macnair vit le jour, dans une lointaine province d’Écosse. L’accouchement fut long et difficile pour Murron Macnair. Et dans un contexte d’épidémie, assistée par la seule vieille accoucheuse du village, une sorcière aux allures de bohémienne, les conditions étaient loin d’être favorables. Pourtant, alors que la nuit était tombée et que minuit sonnait, Walden poussa son premier cri. C’était un bébé étonnamment vigoureux pour l’époque, ce qui fut un soulagement. En effet, un bébé chétif n’avait aucune chance de survivre dans le milieu rural du Moyen Age et représentait de surcroît une bouche inutile à nourrir. A cette époque, tout était une question de survie pour la classe ouvrière. La ferme des Macnair, par son isolement et sa proximité avec la forêt, avait été épargnée par la peste. Pour autant, les conditions de vie demeuraient difficiles et Walden serait mis à contribution dès qu’il serait en âge de marcher. Son excellente morphologie le prédestinait d’ailleurs à devenir rapidement utile pour le travail. Et heureusement pour lui, sans cela, il aurait fini noyé au fond d’un lac, âgé à peine de quelques heures. Wallace Macnair s’en serait chargé personnellement. Loin d’un papa poule, Wallace Macnair était un homme rustre, ombrageux, dénué de patience et de ne serait-ce qu’une once d’altruisme. Lorsqu’il ne se livrait pas à quelque affaire louche supposée rapporter gros, mais qui en réalité n’attiraient que des ennuis, c’est en compagnie d’une bouteille de whisky qu’il tuait le temps, laissant sa femme trimer seule pour tirer le faible rendement que leur procurait leur ferme, laissée à moitié à l’abandon. Et l’arrivée de leur fils ne l’incita pas à changer ses habitudes. La pauvre femme dut trimer deux fois plus pour leur survie à eux trois. S’en fut trop. Lorsque Walden arriva dans sa septième année, elle mourut. Ce fut comme si elle avait tenu bon jusqu’à ce que son fils puisse se passer d’elle et voler de ses propres ailes car elle savait que Wallace Macnair n’allait jamais s’encombrer d’un gamin dépendant, qu’il s’en débarrasserait à la première occasion et pire, qu’il chercherait à en tirer un avantageux profit. La moralité n’était pas une de ses vertus. A la mort de sa femme, il fut cependant obligé de prendre en compte l’existence de son fils. Après avoir effectivement envisagé de s’en débarrasser, il vit les choses sous un autre angle. Bien sûr, il mit un certain temps pendant lequel il n’éprouva que de la rancoeur envers ce gamin et envers sa défunte épouse qui le lui laissait sur les bras. Puis, il comprit rapidement en observant le petit Walden évoluer qu’il pourrait en faire un atout précieux pour ses petites affaires. Il commença par lui enseigner le braconnage. Traque, pièges, embuscades, c’est ainsi que Walden apprit tout ce qu’il y avait à savoir pour évoluer avec aisance dans les bois. Quand il maîtrisa à la perfection la survie en forêt, son père passa à l’étape supérieure, le vol. Il commença par le vol à l’étalage, puis l’art de couper les bourses en toute discrétion pour enfin arriver au plus gros morceau, les cambriolages. Ils vécurent ainsi de leurs rapines, pendant de nombreuses années sans pour autant développer une réelle complicité si ce n’était celle nécessaire à leurs crimes. Mais la chance finit par tourner. Un cambriolage tourna mal. Le bourgeois qu’ils comptaient dévaliser avait pris au sérieux l’épidémie de cambriolages qui frappait la ville d’Edimbourg depuis quelques temps et s’était méfié. Au lieu d’un gros empoté endormi dans son duvet de plumes, les Macnair trouvèrent un adversaire en forme, armé jusqu’aux dents. Wallace fut blessé dans le combat qui s’en suivit et capturé par la garde, ameutée par le bruit. Walden eut juste le temps de s’enfuir. Agé seulement de 15 ans, il dût faire profil bas le temps que les choses se tassent. Son père fut emprisonné dans la tristement célèbre prison d’Edimbourg où les chances de survie étaient quasi inexistantes. Impuissant et de toute façon peu désireux de courir le moindre risque pour aider un père qui n’avait jamais voulu de lui sauf pour en tirer profit, Walden regagna la ferme familiale. Ses compétences de braconnage l’aidèrent à survivre un certain temps mais vint le moment où cela ne suffit plus. Il lui fallut trouver quelque chose et vite, car une famine s’annonçait. Les perspectives étant plus que limitées à la campagne, Macnair prit le chemin d’Edimbourg dans l’idée d’y trouver un travail honnête quelconque. Bien entendu, il n’avait pas abandonné ses activités criminelles pour autant, mais il fallait bien arrondir les fins de mois et afficher une façade de respectabilité, histoire de détourner l’attention. Sauf que les propositions d’emploi ne courraient pas les rues. Après avoir dépensé ses derniers sous à boire, c’est enivré que Macnair tomba sur une affiche qui attira immédiatement son attention. Ce qu’il lut le dégrisa immédiatement. On recherchait d’urgence un nouveau bourreau, le dernier en date étant décédé d’une pneumonie. Macnair n’eut pas besoin de réfléchir longtemps. C’était le métier idéal qui se présentait à lui, lui permettant d’exercer son penchant pour la violence en toute légalité, de continuer de vivre à l’écart de la populace et surtout, d’assurer une subsistance conséquente grâce au droit de havage. Les candidats ne se bousculant pas - il fut le seul à se présenter - il n’eut aucune difficulté à obtenir le poste. Il exerça donc le métier de bourreau, exécuteur des Hautes et Basses Oeuvres au service de la Couronne avec un réel plaisir, et ce, pendant plusieurs années. Détesté et craint par la population, il adorait exercer son droit de havage, abusant de l’aura macabre de la profession. Disposant d’un logement en ville et d’un certain confort, il n’avait cependant pas renoncé à ses séances de braconnage en forêt. C’était le premier environnement qu’il avait connu et il appréciait de retourner aux sources lorsque tortures et exécutions connaissaient une baisse de régime. Le temps s’écoula lentement. Macnair semblait avoir trouvé une vie relativement normale, autant que faire se peut vu les circonstances. Son travail de bourreau et les avantages matériels qu’il lui procurait lui avait fait renoncer au crime. Cela ne lui était plus nécessaire maintenant qu’il gagnait honnêtement sa vie, pour ainsi dire. Sans compter que ses pulsions violentes étaient maintenant canalisées. Tout allait donc bien jusqu’à ce que les massacres commencèrent. Des troupeaux étaient retrouvés décimés puis ce fut au tour de jeunes femmes et d’enfants. La panique se répandait dans la campagne écossaise et on murmurait qu’une bête horrible, un démon, était à l’oeuvre. Macnair ne craignait pas les racontars de bonne femme. Il ne changea en rien sa façon de vivre et continuait d’aller dans la forêt qu’il connaissait par coeur. Mais de plus en plus, il se sentait épié sans parvenir à distinguer un quelconque indice d’une présence étrangère. Tous les pièges qu’il posait pour identifier le mystérieux intrus étaient systématiquement déjoués. Ce fut par une nuit de pleine lune que tout changea. L’astre lunaire projetait sa lueur spectrale de manière particulièrement soutenue cette nuit là, lorsque Macnair prit le chemin de la forêt, ne se doutant pas que cette nuit serait à la fois la fin et le début de sa vie. Cela faisait maintenant un bon moment qu’il se sentait épié à chaque fois qu’il s’aventurait dans les bois et encore plus ces derniers temps. Cela commençait à vraiment l’exaspérer, d’autant plus que quelqu’un semblait visiter ses pièges dans son dos. Cette fois-ci, il était bien décidé à mettre la main sur ce petit malin, rien de plus qu’un mort en sursis. Armé de sa hache, il s’enfonça au plus profond de la forêt et se posta en embuscade, à proximité de l’un de ses pièges, bien déterminé à découper en rondelles le petit fumier. Mais ce qu’il ne savait pas, c’était que cette nuit, il n’était pas le chasseur, il était la proie. L’attaque fut fulgurante, Macnair ne vit rien venir. Il se trouvait à l’affût, immobile, les yeux rivés sur son piège et l’instant d’après, le voilà à terre, cloué par une douleur insoutenable l’épaule gauche en sang. Il hurla, hurla mais ses cris se perdirent dans la nuit. Fou de douleur, il balaya les environs des yeux mais ne vit qu’une silhouette immense, mi-homme mi-bête, disparaître dans les fourrés. La créature l’avait attaqué lâchement, de dos, mais quand bien même, il n’aurait jamais fait le poids face à l’un des plus anciens loups-garous qui arpentaient ce monde. Pour la première fois de sa vie, Macnair connut la peur. La vraie peur. Celle qui paralyse. Celle qui vous fait prendre conscience de votre fragilité, de votre impuissance. Celle qui vous murmure que vous allez mourir sans rien pouvoir faire d’autre que de se résigner et de l’accepter. Pourtant, rien ne se passa. La bête ne revint plus. Macnair se traîna tant bien que mal à travers les bois, laissant derrière lui un chemin ensanglanté. Lorsqu’il atteignit la ferme, il s’empara d’une bouteille de whisky, en but une bonne rasade et se renversa le reste sur sa blessure, ravivant la douleur mais qui n’était rien en comparaison de celle de la morsure. Il banda la plaie autant qu’il le put et perdit connaissance. Lorsqu’il se réveilla, le soleil était déjà haut dans le ciel. Macnair aurait pu croire au cauchemar sans son bandage imprégné de sang séché. Il grimaça en le retirant tout doucement, s’attendant à un horrible spectacle de chairs déchiquetées. Mais au lieu de cela, il découvrit que la plaie s’était refermée, ne laissant plus qu’une cicatrice arrondie de part et d’autre de son épaule. Cela s’ajouta à la confusion qui régnait dans son esprit. Il se sentait fiévreux, tremblant de tous ses membres, incapable de fournir le moindre effort. Il resta donc cloîtré, alternant les épisodes de conscience et de perte de connaissance. Les jours passèrent sans aucune amélioration. Au contraire, cela s’aggrava à tel point qu’il négligea complètement son travail de bourreau. Il ne donna plus signe de vie et s’enferma dans la ferme familiale. Les choses empirèrent à l’approche de la pleine lune suivante. Macnair se sentit de plus en plus fiévreux, nauséeux et perclus de courbatures. La première transformation fut atroce. Terrassé par la souffrance, Walden perdit toute conscience de lui-même alors que le nouveau loup en lui se libérait. Il n’émergea qu’au petit matin, complètement nu au beau milieu des bois. Il tituba quelques instants, ayant l’impression d’avoir besoin de réapprendre à marcher. C’est en prenant appuis contre un tronc qu’il vit les morceaux. Il y en avait partout. Des morceaux de ce qui semblait avoir été un ou des êtres humains, impossible de déterminer le nombre. Alors, Walden, le bourreau sans coeur et sans âme, qui ne cillait pas devant les tortures et les éviscérations, se pencha et vomit. Il vomit toute son horreur et toute sa terreur, toute son incompréhension de ce qui lui arrivait. Ce n’est que lorsqu’il put se reprendre qu’il vit qu’on l’observait. Un vieillard se tenait devant lui, l’air goguenard. Il était vieux mais il semblait pourtant plus robuste qu’un vieillard aurait dû l’être. Et pas le moins du monde effrayé par l’épouvantable spectacle qu’il avait devant les yeux. Macnair ne le connaissait pas ou plutôt ne le reconnaissait pas car ils s’étaient déjà croisés. Mais le vieillard avait une autre forme cette fois-là, celle d’un loup-garou. Lucius, ainsi qu’il s’appelait, fut son mentor. Bien évidemment, le courant ne passa pas d’emblée entre les deux hommes, ou plutôt les deux loups. Il ne passa d’ailleurs jamais vraiment. Macnair était plus que déterminé à tuer celui qui lui avait transmis cette malédiction. Seules les connaissances que Lucius lui distillait au compte-goutte assurait sa survie. Mais ce dernier savait que son heure était proche d’arriver. Pas seulement parce que Macnair voulait sa peau, mais parce qu’il se faisait terriblement vieux. En tant que descendant direct des premiers loups-garous, Lucius, en plus de sa malédiction, reçut le don de longévité. Un privilège de la lignée. Mais longévité ne signifiait pas vie éternelle et l’heure était venu pour lui de transmettre la malédiction pour assurer la pérennité de la lignée. C’est sur son lit de mort qu’il se résolut à confesser à Macnair pourquoi il l’avait choisi. A la mort de Lucius, Macnair se retrouva seul, accablé d’un lourd héritage et de la responsabilité de poursuivre l’oeuvre de ses prédécesseurs. C’était sans compter son sale caractère d’insoumis. Il se fichait comme d’une guigne de perpétrer la race des seigneurs des loups-garous. Pendant des années, il se contenta de laisser le loup prendre le dessus et erra de part le monde, devenant un nouveau fléau qui frappa l’Europe. Avec le temps et grâce à son héritage, il commença à reprendre le contrôle sur le loup et à développer sa conscience à un niveau rarement égalé. Il devint une créature redoutable et s’aguerrit aux cours de combats contre ses propres congénères mais surtout contre des vampires, dont il découvrit l’existence et la haine réciproque. Grâce à son don de longévité, il traversa les âges pour échouer à Londres, en l’an de grâce 1842. C’est ici que commence une nouvelle histoire.
En société Famille
Mère : Murron Macnair, née Lochlan, décédée Père : Wallace Macnair, décédéEnnemis
Les vampires en général, ennemis naturels des loups-garous ainsi que certains chefs de bande humains, rivaux dans les "affaires". Il peut également y avoir des rivalités entre loups-garous.Alliés
Ses compères, humains comme loups-garous. Situation par rapport aux créatures de la nuit
Macnair est au courant de l'existence d'autres loups-garous, son créateur l'ayant prévenu avant qu'il ne rencontre ses congénères au cours de sa longue existence. Il lui est d'ailleurs arrivé de former des meutes à plusieurs reprises. En tant qu'ennemi naturel, il connait l'existence des vampires qu'il traque à titre de loisir de temps en temps, quand il n'est pas occupé à autre chose. Il a d'ailleurs gardé quelques crocs en souvenir. Puisque les loups-garous et les vampires existent, Macnair se doute qu'il pourrait exister d'autres créatures surnaturelles mais il n'en a jamais rencontré. Idem pour les Alchimistes. Venant d'une époque où l'on croyait à la sorcellerie et aux sciences occultes, il ne serait pas surpris de découvrir leur existence.Localisation sur l'Ombre Demeure
Il a conservé la ferme familiale en Écosse, peu entretenue et essentiellement en ruine dont l'existence est connue de lui seul. Actuellement, il loue une chambre dans une auberge des quartiers pauvres. Endroits les plus fréquentés
Les bars et tavernes mal famés ainsi que les bordels bas de gamme. Les forêts et autres endroits sauvages lorsqu'il se transforme.But(s) En principe, Macnair est supposé veiller à la continuité de sa lignée en choisissant un successeur qui en sera digne, comme son créateur Lucius l'a fait avec lui mais c'est une mission qui ne semble pas l'intéresser. Il vit au jour le jour, avec pour ambition de profiter de sa vie de scélérat au maximum. Il a d'ailleurs repris ses anciennes activités et se plaît à dévaliser les bourgeois londoniens. En parallèle, il consolide son règne et sa suprématie sur les loups-garous, chose toujours remise en cause chez ces créatures, et s'assure qu'aucun rival ne vient empiéter sur son territoire.
Arme(s), équipement Objets spéciaux
Sa hache d'ancien bourreau, toute une panoplie de dagues qu'il fabrique lui-même, un collier de canines des vampires qu'il a pu tuer au cours de sa longue existence.Objets personnels
Macnair étant très spartiate, il ne possède pas grand chose d'autre que ses armes.Pouvoir(s) Choisis
- Longévité : Ce don lui a été transmis suite à son lignage. Il lui permet d'avoir une vie incroyablement longue, au delà de la longévité d'un loup-garou standard. Inconvénients : Longévité ne signifie pas vie éternelle. S'il ne se fait pas tuer avant, il finira par mourir de vieillesse. Une longévité accrue peut également entraîner une incompréhension et des problèmes d'adaptation aux évolutions du monde. L'absence de vieillissement peut également se remarquer au fil des ans ce qui le force à parcourir le monde pour éviter d'éveiller les soupçons chez les humains. - Griffes sauvages : Sanguinaire et violent en tant qu'humain, ces traits de caractère ont développé ses griffes, les rendant plus longues et encore plus tranchantes que la normale. Il peut choisir de les allonger ou non.Inconvénients : l'allongement des griffes se fait dans la douleur, son insensibilité n'ayant ici aucun effet. Inventés
- Insensibilité à la douleur : que ce soit transformé ou non, Macnair ne ressent pas la douleur, sauf lorsqu'il utilise ses griffes sauvages.Inconvénients : Insensibilité à la douleur ne signifie pas invulnérabilité. L'absence de douleur, si c'est un avantage certain, est aussi un dangereux inconvénient car elle le prive de la conscience de blessures qui peuvent s'avérer mortelles. - Insensibilité aux variations de température : sa température corporelle, différente de celle des humains, lui permet de ne pas être importuné par les variations de température, notamment du froid. Inconvénients : là encore, il s'agit de faire preuve de discrétion aux yeux des humains et de penser à adapter sa tenue aux saisons. Déambuler en tenue légère en plein hiver et sans paraître souffrir du froid serait immédiatement suspect.Autres personnages Liens vers leurs fiches
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J'ai découvert le forum via un annuaire, après une petite recherche sur Google. Je cherchais un forum de type fantastique, avec des créatures surnaturelles. Le design et le contexte m'ont plu et l'équipe m'a donné l'impression de bien maîtriser le RPG et de savoir où aller. Cela se voit notamment à l'ancienneté du forum. Votre niveau de RP approximatif?
Confirmé. J'ai commencé le RPG en 2008.