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Souffrir face à des mots [Asher] [19/03/42]

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AuteurMessage
Asher Rosebury
Citoyen de l'Ombre
Asher Rosebury
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Date d'inscription : 15/11/2013
Race : Humain
Classe sociale : Bourgeois
Emploi/loisirs : Pianiste/Enquêteur sur des meurtres qu'il a commis lui même inconsciemment...
Age : 28 ans
Age (apparence) : 25 ans
Proie(s) : lui même
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Souffrir face à des mots [Asher] [19/03/42] Empty
MessageSujet: Souffrir face à des mots [Asher] [19/03/42] Souffrir face à des mots [Asher] [19/03/42] Icon_minitimeDim 29 Mar - 17:02

[HRP/ En revenant des égouts, après  "Nouveau venu dans les ténèbres"/HRP]

Eléanore avait attendu longtemps le retour du jeune maître, autant signaler qu'il était inutile de se renseigner sur l'inquiétude de la belle. Elle craignait pour lui, les bourgeois et les nobles seuls étaient des proies faciles pour les miséreux qui logeaient dans la rue. Elle pouvait en attester pour y avoir vécu. Alors le savoir seul, simplement armé de son katana antique, déambulant dans les rues pour une raison assez obscure la rendait folle de terreur. Asher était finalement rentrée, la mine acerbe et le visage fermé. Il semblait fort de très mauvaise humeur. La première parole qui lui fut adressée fut immédiatement rejetée par un regard assassin. L'homme qu'il avait rencontré ne lui plaisait point et il avait raison ! Il lui semblait être une créature du Diable, sa manière de s'exprimer l'avait fait frissonner mais il n'avait pas eu peur, il avait surtout été répugné. Voir un être se régénérer aussi rapidement, connaître quelques tourments de sa vie, se faire passer pour intéressant, le menacer et demander une demeure chez lui le rendait fou de rage et le dégoûtait à un point inimaginable. Il doutait très fortement de la sincérité de ce personnage et pariait presque qu'il s'agissait d'un blague de très mauvais goût. Dans tous les cas, si l'homme pointait à nouveau le bout de son nez, Asher aurait peut-être une chance de découvrir la véritable identité de son assassin personnel. Ah comme il le haïssait ! Toutes ces femmes tuées ! Et en plus Swan avait fui ! Tout pour le mettre d'une humeur de chien.

Après quelques remarques acerbes sur la propreté du carrelage qui pour lui n'était pas aussi impeccable qu'à l'ordinaire il s'échoua sur un fauteuil et se remit à penser à tout ça. Alors il y avait eu Brandy, cet homme fou de rage de l'avoir mis dans une telle situation qui lui avait promis de l'aider, il y avait eu également cette jeune Comtesse qu'il avait tellement aimé auparavant et qu'il n'avait jamais pu oublier... Cette femme qui l'avait tout de suite à nouveau séduit et qu'il ne pouvait même plus approcher sans craindre de la voir disparaître comme n'importe quelle femme qui lui parlait désormais. Oh oui ce soir-là il aurait pu s'avancer vers elle alors qu'elle l'attendait dans ce lit dans une position des plus suggestives, il aurait également pu l'embrasser comme il l'aurait fait des années plus tôt mais sa raison l'avait emportait... Etait-ce donc cela qui avait fait partir la jeune femme ? S'il l'avait pu il l'aurait même demandé en mariage ! Mais tout semblait désormais être contre lui. Il ne pouvait même pas s'approcher d'elle et lui murmurer des mots doux à l'oreille. Non... Mais il fallait qu'il y aille, qu'il aille à son manoir, qu'il demande à la voir pour au moins prendre de ses nouvelles. Il ne pouvait pas rester dans l'ignorance et se demandait inlassablement si Swan était encore en vie, si sa blessure allait mieux ou bien si elle avait fui la ville entière !
La brunette s'approcha de lui et souffla doucement à son oreille :

- Peut-être devriez-vous aller vous reposer Monsieur, je ne doute pas que votre soirée fut longue et éprouvante mais demain une lourde journée vous attend de pieds fermes. N'oubliez pas votre représentation... Vous n'avez pas oublié n'est-ce pas qu'il y aura plus de monde qu'à l'accoutumé ?

Asher releva la tête et croisa ses yeux de biches. Doucement il souffla et la poussant de devant lui il monta dans la salle d'eau. Se déshabillant, il resta tout de même en pantalon et à l'aide d'une serviette qu'il mouilla il commença à nettoyer son torse, son dos et ses bras. Il ne voulait tout de même pas salir ses draps. Une fois que ce fut fait il reposa la serviette, se donna un coup de peigne, tressant rapidement ses cheveux pour ne pas les emmêler et se rendit dans sa chambre. Il ôta ses bottes et fut surpris de voir sa domestique assise sur le lit qui l'attendait. Elle se redressa vivement en le voyant et le laissa rabattre les draps blancs pour s'y glisser. Alors qu'il était assis elle se glissa doucement derrière lui et commença à masser ses larges épaules, espérant le détendre. Mais que nenni. Il semblait tendu comme un bœuf et n'arrivait pas à calmer cette colère naissante. Le désespoir avait laissé place à une rage qui se faisait incontrôlable. Il en avait marre de cette vie, marre de toutes les voir mourir et de ne jamais pouvoir mettre un nom sur cet assassin !! Cela commençait à lui peser réellement, voir des cadavres l'insupportait, il avait des envies de vengeance, de meurtres... Tout ceci lui bousillait sa vie et lui rongeait son âme. Il ne vivait plus tranquille depuis longtemps. Sa main se posa doucement sur celle d'Eléanore comme pour lui intimer l'ordre d'arrêter et il s'allongea, posant sa tête sur son oreiller. Le même qui avait accueillit Swan, il pouvait encore sentir son parfum qui embaumait agréablement le drap de soie. La jeune femme le regarda faire avec un sourire aux lèvres et embrassa son front avant de lui souhaiter bonne nuit et de sortir de la pièce pour aller elle-même se reposer.

Cette nuit encore comme presque toutes les nuits, des mauvais songes envahirent les rêves du jeune bourgeois. C'était une Swan blessée qu'il voyait à ses pieds et un second lui qui la poignardait. C'était des larmes qui ruisselaient sur ses joues et finalement ce fut son cœur qui se mit à saigner. Il n'arrivait pas lui-même à effacer le sang qui suintait sur sa peau et qui commençait à devenir une de ces tâches noires indélébiles. Et il était là... Condamné à voir sa bien aimée s'évanouir dans ses bras. De l'état d'un corps souffrant elle passait à celui d'un esprit. Et il pleurait de la voir s'en aller comme ça mais ce n'était pas lui qui parlait. Swan lui parlait. Que lui disait-elle ? Il n'arrivait presque plus à entendre. Le seul mot qu'il réussit à distinguer parmi les autres ce fut un douloureux adieux. Ses bras se refermèrent dans le vide. Elle était partie et ne lui reviendrait certainement pas mais il avait mal. Etait-ce à cause de son assassin ? Cette histoire l'avait-elle tuée ? Oh il n'arrivait pas à s'y résoudre.
Lorsque le soleil lui infligea ses lourds rayons lumineux le jeune homme sursauta dans son lit et se retrouva bien vite assis, la respiration haletante. La chevelure hirsute il entreprit de s'enlever sa tresse et logea son visage transpirant dans ses mains moites. Déglutissant il sortit du lit et se rendit dans la salle d'eau pour se débarbouiller ce visage déformé par la peur. Un cri de rage s'échappa de sa gorge tandis que ses doigts se refermaient dans l'eau transparente du récipient en verre brodé. Soudain il se retourna. Non ce n'était peut-être pas son rêve qui l'avait réveillé mais bel et bien sa domestique qui s'acharnait à lui annoncer qu'une lettre venait d'arriver depuis qu'il avait les yeux ouverts. Se séchant les mains il s'empara d'une chemise bleutée et s'assied à son bureau demandant à être seule. L'écriture était fine et calligraphiée mais ce n'était pas celle du monstre de la veille. Non il la reconnaîtrait parmi toutes, cela faisait si longtemps qu'elle ne lui avait plus écrit. Prenant un coupe papier il ouvrit l'enveloppe et en sortit la lettre parfumée qu'elle contenait. Son cœur fit un bon dans sa poitrine dès qu'il lut les trois premiers mots. Oui c'était bien elle... c'était Swan... Elle avait été la seule à s'adresser à lui ainsi dans ses lettres. Alors qu'un sourire s'était formé sur ses lèvres et que ses yeux pétillaient de joie de savoir qu'elle était toujours en vie, son visage se déforma. « me fend le coeur », « vous m'y obligez » « je me dois donc de vous dire tout cela ». Ces mots lui firent l'effet d'un coup de poignard dans le cœur.

Alors qu'il commençait sa lecture le jeune homme sentait son cœur se serrer de plus en plus, la gorge s'étrangler toute seule et la respiration plus espacée, plus douloureuse. Le parfum qui s’imprégnait de tout son être commençait à le rendre fou, malade. Il voyait les bavures que la belle n'avait pu éviter, elle avait pleuré. Mais avait-elle pleuré autant qu'il allait le faire. Alors que les larmes commençaient à piquer ses yeux il tenta de les retenir vaillamment étouffant des sanglots douloureux désireux de le rendre malheureux. Il ne lui fut plus beaucoup pour finalement éclater en sanglots sans pouvoir réellement se retenir. Ses doigts froissaient involontairement le délicat papier de la Comtesse. Alors elle était revenue, mais revenue pour quoi ? Pour reprendre son cœur et le piétiner ? Pour l'écraser et sauter dessus inlassablement ? Était-ce ça qu'elle désirait réellement ? C'était donc de lui faire du mal, lui qui était déterminé par-dessus tout à mettre fin à cet interminable calvaire ? Pressant le papier contre son cœur il se leva et balança son bras sur son immense bureau, duquel s'écrasa au sol l'encrier, les plumes, le papier mais également un lourd vase. Des bruits d'éclats de verre se firent entendre dans toute la demeure tandis qu'ils s'éparpillaient au sol et que l'ancien soldat se mit à pousser un long cri de souffrance. Eléanore déboula dans la pièce et se figea en voyant son maître das un tel état. Cependant il ne lui fut pas plus d'un quart de seconde pour comprendre ce qui pouvait se passer réellement. Sans piper mot elle se baissa vers le sol pour commencer à le débarrasser des débris qui risquaient de lui faire mal s'il tombait dessus. Malgré tout elle s'affaissa quand le jeune homme se mit à faire des mouvements violents et à frapper au mur. Et si c'était elle qu'il se mettait à frapper ? Malgré tout elle était peinée pour lui, il semblait réellement aimer cette Comtesse...

Le jeune homme se tourna vers la porte et laissa la domestique s'occupa seule du raffut qu'il avait fait dans son bureau. Ouvrant un petit placard, il s'empara d'une bouteille d'alcool fort destinée aux invités qui devaient venir dans quelques jours. N'ayant pas le cœur à les accueillir il s'échoua dans son fauteuil et ouvrit avec rage la bouteille. Sans aucune convenance il entama la bouteille sans prendre la peine d'attraper un verre pour se servir. Ce qu'il voulait désormais c'était oublier. Oublier cette lettre, oublier cet homme, oublier qu'elle était revenue, oublier qu'il avait rencontré Brandy, oublier son assassin, son voyage, la mort de sa petite fiancée, sa naissance. Il ne voulait même plus être conscient qu'il existait. Le liquide brûlant s'écoulait lentement dans sa gorge et lui faisait tourner la tête, il n'en avait pas l'habitude. Mais il avait tellement mal, trop mal pour oublier qu'il n'était pas un ivrogne et qu'il ne fumait pas.

Il se retrouva à la fin de la journée, la lettre sur le torse, les yeux rougis par les larmes et la bouteille de verre vide tombée à ses pieds. Il avait l'air misérable vu ainsi. Mais il ne faisait plus aucun effort, ses premières mèches de cheveux trempées par les larmes qui assaillaient encore son corps. Celui-ci semblait pris de soubresauts. Un goût amer et pâteux s'était emparé de sa bouche. Alors les mots de la lettre en tête, il se recroquevilla sur lui-même tel un enfant qui se retrouvait seul au monde. Il avait le même comportement que jadis lorsqu'il avait perdu ses parents. Ses sanglots se firent entendre et bientôt Sandrine arriva. Elle se plaça derrière le fauteuil et posa ses mains sur ses larges épaules tentant de lui faire comprendre qu'elle était toujours là pour lui si jamais il avait besoin de quoique ce soit. Elle avait été là la première fois, elle le sera jusqu'au bout. Elle resta là plusieurs heures, assise sur une chaise qu'elle avait ramené près de lui pour qu'il finisse finalement à terre, agenouillé devant elle, sa tête sur ses genoux. Des hoquets traversaient quelques fois ses lèvres. Il n'avait pas changé, il était le petit garçon qu'elle avait toujours connu. Elle caressait ses longs cheveux alors qu'Eléanore revenait avec un gant et une tasse de thé dans la main. Elle posa le tout sur la table et aida le jeune homme à se relever pour le faire s'asseoir sur le divan. Il ne parlait plus, il semblait livide, sans vie, comme si toute flamme avait déserté de son corps. Doucement elle se mit à lui essuyer le visage pour effacer ses larmes et attrapa sa main pour la serrer tendrement.

La soirée s'écoula lentement, finalement mort de fatigue il s'écroula à moitié endormi et se laissa ramener par Eléanore qui le tenait fébrilement. Elle l'avait ramené dans sa chambre, lui avait enlevé la chemise et les bottes pour qu'il puisse s'allonger sereinement. Dans un élan de douceur elle se glissa à ses côtés et déposa un baiser dans le creux de son cou. Il empestait l'alcool et n'avait rien mangé. Asher avait une mine affreuse... la nuit lui parut bien trop courte. Quelques secondes semblaient s'être écoulées alors qu'une nuit entière avait défilé. Lorsqu'il se réveilla quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il découvrit la brunette lovée contre lui une main sur son cœur comme pour se rassurer qu'il était encore en vie. Doucement il la reposa sur son oreiller pour ne pas la réveiller et se leva en chancelant. Sa chambre paraissait tourner tels les mauvais manèges de l'époque, beaucoup trop vite et bien trop brusquement. C'était les effets de l'alcool. N'ayant pas l'habitude il s'en alla à la vitesse grand V vers sa terrasse et vomit tripes et boyaux dans son joli jardin. Une main sur son cœur il tentait de s'arrêter mais n'y parvint pas. Ce fut seulement lorsque Sandrine arriva qu'il trouva la force de se relever pour la remercier de la veille. Asher avait l'air d'un chien battu, les yeux dans le vide il ne voulait plus penser ni même se rendre compte qu'il vivait. Il réussit tout de même à monter jusqu'à son bureau et s'y installa. S'emparant d'une plume et d'un papier il s'apprêta à écrire. Cependant il s'arrêta en plein mouvement. Elle ne voulait pas de réponse.

Ainsi avachi sur son bureau il y resta la journée entière refusant entièrement de se nourrir. Il avait réussit à avaler un de ces thés que lui préparait souvent Eléanore mais rien de plus. Y passant la nuit, ce fut finalement à deux heures avant le lever du soleil qu'il commença sa lettre. La plume avait griffé lourdement le papier, il s'y était tout de même appliqué et y avait mit tout son amour pour cette Swan qui ne voulait décidément plus jamais le voir. Son cœur s'était serré à chaque mot et quelques larmes avaient coulé de ses yeux et s'était écrasée sur la lettre rendant illisible quelques petites syllabes, auxquelles on pouvait tout de même deviner aisément le mot écrit.

Les jours passèrent, Asher ne s'en était toujours pas remis... Il en souffrait énormément et ne pouvait s'empêcher de se demander si elle ne l'aimait vraiment plus ou bien si elle lui en voulait d'avoir été un peu lointain lors de leur dernière entre-vue. Ce fut lors de cette semaine qu'il s'habilla avec sobriété et sortit enfin de chez lui pour prendre l'air. Il savait qu'il y avait une foire et il désirait s'y rendre. Swan aimait-elle les cadeaux ? Il n'arrivait même plus à s'en souvenir. Ces derniers temps il s'était mis à boire et à fumer les cigares qui se trouvaient chez lui. Il ne faisait plus d'effort pour se souvenir de quoique ce soit bien que les mots de la belle lui revenaient inlassablement en tête. Ce furent sur ces lugubres pensées qu'il quitta sa demeure en quête d'un présent à joindre ou à offrir en mains propres à la femme qu'il aimait et qui ne voulait plus de lui. Il en oubliait son assassin qui ne faisait plus des siennes depuis cette longue semaine... Non il n'en avait même plus entendu parler...


[HRP/Suite du rp à l'évent (1) lien à venir /HRP]


Souffrir face à des mots [Asher] [19/03/42] Signat11
La plupart des hommes flottent, misérables, entre la peur de la
mort et les tourments de la vie et ne veulent pas vivre et ne savent pas mourir.
Sénèque.
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Souffrir face à des mots [Asher] [19/03/42]

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