L'Ombre de Londres
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Les ravages d'une première transformation (Libre)

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Abigail Olswan
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Abigail Olswan
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MessageSujet: Les ravages d'une première transformation (Libre) Les ravages d'une première transformation (Libre) Icon_minitimeSam 21 Mai - 4:49

[ HRP / En provenance / HRP ]
Le commencement du cauchemar

Le silence régnait sur Chinatown alors que la lueur de la pleine lune éclairait le quartier désert. Les rues aux allures chinoises semblaient s’être endormies d’un doux sommeil alors que dans la journée elles étaient animées de toutes parts avec des petits commerces et des jolis restaurants attirants la clientèle curieuse de découvrir de nouvelles cultures. Les couleurs vives du quartier chinois semblaient s’être éteintes lorsque la nuit tomba, les habitants de ce quartier différent des autres disparurent dans leurs demeures, peut-être superstitieux au sujet des dangers qui cours les nuits de pleines lunes comme s’elle si.

Mais dans cet océan de noirceur une faible lueur persistait, un bar qui possédait une fumerie d’opium restait ouvert pour les vagabonds et les rodeurs, ceux qui voulaient fuir leurs femmes ou bien leurs passés. Pour un petit bar crasseux, il était bondé, toutes sortes de personnes passaient leurs nuit dans cet endroit tenu par un vieil asiatique possédant un bandeau sur l’œil droit, vieux vestige d’un passé laissé en Chine. Le propriétaire servait de l’alcool a des gens de toutes les races, peu de femmes si trouvaient sinon des prostituées, des catins suscitant du plaisir chez des gens aux allures louches pour quelques pièces.

Dans cet établissement peu recommandable nul ne se doutait de ce qui allait se produire dans la nuit hantée par les monstres des ténèbres, pas même la vieille édentée qui se dissimulait sous une multitude de draps multicolores et qui se faisait passée pour une voyante, escroquant les gens naïfs pour gagner son pain. Car dans la noirceur de la nuit, une bête effroyable hantait les rues de Londres, hurlant sa douleur et sa soif de chair fraiche. Autrefois hunter elle était maintenant devenue la bête qu’elle chassait, enfermée dans son propre corps meurtrie et transformé en monstre mi-homme mi-loup.
La jeune bourgeoise du nom d’Abigail Olswan errait dans les rues de Londres sous la forme d’un loup-garou depuis maintenant plus de deux heures sans n’avoir croisée âme qui vivent dans cette ville si grande. Son errance la mena aux portes de Chinatown, l’odeur écœurante de la fumerie d’opium et des corps ruisselants de sueurs dans cet espace clos se fit sentir dans les narines sensibles de la bête. Le loup-garou poussa un grognement rauque puis bondit à la recherche de cette odeur promesse de chair et de sang.

L’animal aux longs poils brun-roux découvrit l’établissement d’où provenaient les effluves malodorantes, elle retroussa ses babines sur ses longs crocs de loup, ses griffes raclèrent le sol produisant des sons lugubres. La louve-garous défonça alors la porte des ses pattes puissantes et d’un bond elle fit tomber sur le sol un des clients du bar. L’homme d’âge mûr n’eut point le temps de faire un geste, le pauvre homme rendit son dernier soupir, la gorge coincée dans les mâchoires acérées du monstre. Le loup-garou ne perdit pas de temps, à peine le sang coulait-il dans sa gorge que l’excitation de la chasse se rendit jusqu’au cerveau embrumé de l’animal. La foule criant d’effroi n’aida que plus cet instinct de chasseur, la monstre émit ce qui ressembla à un ricanement des plus grotesque puis sauta sur une nouvelle proie, tout crocs et griffes dehors. La nouvelle victime n’eut pas plus de chance que la dernière, les crocs s’enfoncèrent profondément dans le ventre de la prostituée qui n’avait pas réussit à fuir attend. La pauvre femme ne s’était pas éteint que la bourgeoise atteinte de la malédiction du loup attaqua à nouveau un jeune homme terrifié qui pleurait sous une chaise. Le meuble partit en éclat d’un coup de griffes et les intestins du jeune homme drogué à l’opium se déversèrent sur le sol crasseux du bar. Il ne restait plus personne dans l’établissement, les gens ayant réussit à fuir ce lieu maudit l’avaient fuit aussi rapidement que le vent quitte les voiles d’un navire. Les pauvres gens ayant assistés à la scène sont, pour la plupart, devenu fou.

Laissant les fuyards prendre leurs jambes à leurs cous, le loup s’enivra de l’odeur âcre du sang et commença à déchiqueter la chair et les entrailles du jeune homme décédé sur le sol, elle lapa le sang encore chaud de sa victime, ignorant les bruits extérieurs.


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Lizbeth
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MessageSujet: Re: Les ravages d'une première transformation (Libre) Les ravages d'une première transformation (Libre) Icon_minitimeSam 21 Mai - 11:42

[ Premier RP ]

Chinatown connaissait le meurtre chaque nuit. Elle restait cependant silencieuse et endormie, tandis que le sang se déversait au hasard des rues. Si une famille rendait l'âme, si une prostituée était égorgée, alors rien ne changerait. Les corps seraient jetés à la fosse, sans enquête sérieuse, sans même connaître les noms des victimes. Pourquoi se soucier des morts, lorsque survivre est déjà un luxe?
Le bar à opium n'y ferait pas exception. Les maisons alentours avaient fermé leurs volets et verrouillé leurs portes depuis bien longtemps. Si les habitants avaient entendu les hurlements, alors en aucun cas ils n'auraient osé jeter un œil à l'extérieur. Le matin venu, ils iraient constater les dégâts, et peut-être récupérer les objets de valeur. Rien n'était honteux, en ces temps de misère.

La chasseuse déchue allait pouvoir profiter de ces longues heures de paix pour déguster la chair âcre de ses victimes. Le sol s'était changé en marre de sang, et les débris de mobilier se confondaient avec les morceaux de viande humaine. Il y avait eu trois victimes ce soir là. Trois corps mutilés. Trois vies misérables détruites.

Et pourtant, seules deux âmes s'étaient évadés de leur enveloppe charnelle...

Un hurlement strident vint esquinter les tympans sensibles de la jeune Oslwan. Une plainte presque inhumaine, féminine, qui aurait pu venir d'outre-tombe.
Derrière elle, la jeune femme que la louve avait éventré en second, s'était relevée. Sa robe déchirée, couverte de sang, mais son corps totalement indemne.


- Du sang!! Je saigne!!! Mon dieu je saigne!!!

Si l'attaque du garou n'avait pas suffit à réveiller tout le quartier, c'était sans doute chose faite. L'étrange créature, qui avait péri sous les crocs maudits d'Abigail, et qui était à présent comme neuve, semblait paniquée par cette expérience.
A mieux regarder, on pouvait distinguer une allure étrange chez cette jeune femme. Son regard était dérangé, ses jambes affreusement déformées, et ses mains griffues. Elle portait des habits qui paraissaient extraordinairement vieux, et surtout, la présence d'un loup-garou ne semblait pas l'affoler.

Elle observa ses mains, couvertes de son propre sang, et jeta un œil noir à la louve. Cette dernière était largement plus imposante qu'elle, mais la miraculée ne mâchait pas ses mots:


- Morue! Iconoclaste! Qu'avez vous fait?! Vous dispersez mon public! Rendez-le moi!!

Qu'elle fut choquée ou simplement folle, la misérable créature blonde se mit à déambuler dans la pièce en marmonnant. L'apparence monstrueuse d'Abigail ne semblait pas la déranger. Sans doute n'avait-elle plus toute sa tête...

- Ces roturiers! Des animaux! Tous!...

Cette attitude avait de quoi surprendre, même pour une machine à tuer. C'était sans doute pour cela que la louve ne l'avait pas encore étripé... Ce qui ne saurait attendre, certainement.


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Abigail Olswan
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MessageSujet: Re: Les ravages d'une première transformation (Libre) Les ravages d'une première transformation (Libre) Icon_minitimeSam 28 Mai - 0:03


Déchirant la chair tendre du jeune homme pour ensuite l’engloutir, la bête de la lune ne s’attendait certainement pas à ce qu’une de ses victimes revienne d’entre les morts et hurler de toute la force de ses poumons l’horreur que lui avait causé cette situation. La louve-garou abaissa ses oreilles sous l’assaut strident de la jeune femme, les cris lui vrillaient les tympans, rendant très désagréable son repas. Abigail se tourna vers la source de ses hurlements incessants dont la chasseuse maudite ne comprenait le sens. À quatre pattes sur le sol, son museau dégoulinant de sang visqueux, la bête montra les crocs à cette jeune femme inconsciente du danger que représentait la bête mi-homme mi-louve. Un grognement bien audible s’échappa de sa gorge, le monstre se redressa sur ses deux pattes arrière. L’imposante créature de la nuit exprima sa colère par un hurlement si méprenant à un long grognement.

Le loup-garou ne comprenait tout simplement pas pourquoi la jeune femme ne s’enfuyait pas, elle ne montrait même pas une once de peur, aucun cris de détresse seulement des insultes crachés en tout côté dont Abigail, sous sa forme de loup-garou, n’en saisissait point le sens. Mais le ton qu’employait l’homonculus suffit à faire comprendre à la chasseuse déchu que ce n’était plus une proie mais une adversaire qu’elle avait devant-elle. Une adversaire qui se prenait pour son égal, il ne prit que cette provocation pour mettre le monstre dans une rage incontrôlable. La louve se trouvait à quelques mètres de Lizbeth, elle prit dans ses énormes pattes griffus les restes de son repas et les expulsa en direction de l’homonculus, du sang et des boyaux virevoltèrent en tout sens alors que la bête de la nuit avançait à grande enjambées vers son adversaire, de la bave mêlée de sang dégoulinait des babines de louve de la jeune chasseuse maudite.

Dans la tête du monstre, Abigail se débattait faiblement pour reprendre le dessus, l’esprit de la bourgeoise voyait par flash intermittent les actes que le monstre en elle causait, le chagrin la submergeait, la jeune femme voulait crier, mais aucun son, aucune voix ne sortait de sa gorge. Au lieu de cela le hurlement de la bête se fit entendre dans les oreilles de la jeune femme qui pleurait toute les larmes que son corps pouvait contenir.


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MessageSujet: Re: Les ravages d'une première transformation (Libre) Les ravages d'une première transformation (Libre) Icon_minitimeMar 31 Mai - 0:06

Le hurlement de la bête avait finalement eut raison de l'état inadapté de l'homonculus. Les pupilles de Lizbeth se rétractèrent, tandis qu'elle esquivait de justesse le tas de viande morte. Le projectile acheva de la recouvrir de sang, et il ne restait presque aucune parcelle de tissu encore propre sur sa robe. La louve approchant à allure alarmante, la misérable s'éloigna vivement.

L'incohérence de l'étrange jeune femme laissa place à une appréhension couarde. Elle s'éloignait, du moins autant que possible dans cet espace réduit, des griffes meurtrières de la créature. Les deux monstruosités semblaient tourner en rond, dans un duel d'intimidation qui n'en finissait plus.

L'homonculus, acculée vers l'un des coins de la salle, devint plus nerveuse encore.


- Bête sauvage! meugla-t-elle. Ne me touchez pas!

Il y avait fort à parier que Lizbeth avait une perception troublée. Elle semblait cependant avoir une idée de la nature prédatrice de son adversaire, mais le traitait de la même manière que n'importe quel individu.
Soudain, alors que la louve était sur le point de la taillader en pièce, Lizbeth bondit, et s'agrafa au plafond. Elle se situait à quelques centimètres du crâne imposant de la chasseuse, les griffes plantées dans les poutres de bois, et face contre terre. Elle ressemblait à la fois à une araignée et à un chat s'accrochant aux rideaux. Sans attendre, elle crapahuta vers la sortie, non heureuse de devoir affronter un prédateur aussi gros...

Naturellement, la louve-garou ne lui permit pas ce luxe, et n'eut aucun mal à la décrocher du plafond. Lizbeth s'écrasa au sol avec une violence peu enviable. Lorsqu'elle se redressa, son nez était en sang, et pourtant intact. L'homonculus se sentit trainée vers l'arrière par la louve, tandis que ses griffes rayaient le plancher. Elle hurlait, plus par hystérie que par peur réelle, mais tenait tout de même des discours de moins en moins bavards...


- Ça suffit!!! Vous me faîtes mal!...

L'affrontement risquait de durer longtemps. Il prenait la forme du jeu du chat et de la souris... Sentant venir les ennuis, Lizbeth préféra fuir pour de bon cette brute en frénésie. L'étrange femelle parvint à la porte d'entrée et se carapata à travers les ruelles...

[ EDIT: Post modifié, sans nouvelle d'Abigail. ]


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MessageSujet: Re: Les ravages d'une première transformation (Libre) Les ravages d'une première transformation (Libre) Icon_minitimeLun 26 Oct - 20:54


Le loup-garou allait poursuivre sa proie, elle sortit de la bâtisse d'un grand bon de ses pattes arrière et renifla l'air à la recherche de la créature qui avait osé la défier. Lorsque le monstre eût capté l'odeur il alla se mettre à sa poursuite lorsqu'un hurlement se fit entendre dans l'air. Ce hurlement n'avait cependant rien d'humain, un hurlement animal, semblable à ceux que poussait le nouveau loup-garou ce qui l'intrigua fortement car tel un nouveau né le loup-garou sentait pour la première fois ce qui l'entourait et ne connaissait rien du monde. Abigail et le loup étaient deux entités distinctes et même s'ils pouvaient cohabiter ensemble cela ne se ferait pas du jour au lendemain et pour l'instant le fauve prenait entièrement la place, laissant son alter ego humaine seule dans les tréfonds de son esprit tourmenté.

Le hurlement qui avait arrêté le monstre quelques instants plutôt reprit dans la nuit, les oreilles dressées le loup-garou tourna sa tête vers la provenance et se positionnant sur ses quatre pattes pour plus de mobilité se dirigea vers les hurlements.

La nuit était déjà beaucoup avancée lorsque le fauve auburn trouva un de ses semblables, plutôt chétif l'autre loup-garou fouillait des poubelles. Quoi de plus inacceptable pour des êtres de leur espèce que de fouiller les poubelles à la recherche de quelque chose à grignoter. Il était vrai que personne ne se promenait en ville à l'heure qu'il était mais le nouveau loup-garou en manque de violence trouva en le charognard un adversaire acceptable pour mesurer sa force.

Un grondement sortit du gosier de la louve, avertissant de sa présence le maigrelet. L'autre loup semblait vieux, rabougrit et faible, mais le fauve ne s'en formalisa pas et bondit toutes griffes dehors à la rencontre de son adversaire.
La bataille fut brève, peut-être que ce fut l'écart de musculature entre les deux monstres, la rapidité d'Abigail ou juste que l'autre loup en avait assez de vivre de cette façon mais le fauve roux se sortit de la bataille avec seulement une entaille au poitrail et les griffes rouges du sang de son ennemie. Le loup se dressa sur ses pattes arrière et en rejetant la tête vers l'arrière hurla à la face du monde son triomphe.

Le temps était maintenant venu au loup de laisser la place à l'humaine, l'esprit sauvage du monstre s'endormie, laissant une femme épuisée d'avoir tant combattu dans un corps de monstre qui la faisait souffrir. Elle réussit à se traîner jusqu'à sa demeure, elle se transforma douloureusement devant la porte de sa demeure vide. Des pleurs déchirants sortaient par
spasme de la jeune bourgeoise qui se traînait lentement à l'intérieur. Abigail alla jusqu'à son lit et s'i endormi lorsque sa tête se posa sur son oreiller.

Lorsqu'elle se réveilla en fin d'après-midi Abigail ne perdit pas de temps, elle prit un sac et y fourra quelques effets personnels, la jeune femme prit son arme de prédilection et sans plus attendre sortit du manoir, se dirigeant vers le port de Londres pour y prendre le premier bateau qui sortait du pays.


HRP: En direction Le loup sauvage dans une ville droite


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