L'Ombre de Londres
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La capitale vit dans le chaos : les Vampires complotent toujours, les Hunters s'allient et s'organisent, les Alchimistes se révèlent, les Lycanthropes se regroupent et les Loups-Garous recommencent à tuer !

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Forum RPG - Londres au XIXème siècle. Incarnez Vampires, Loups-Garous, Lycanthropes, Homonculus, Chimères, Alchimistes, Hunter...et choisissez votre camp dans une ville où les apparences n'ont jamais été aussi trompeuses...
 
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Erreur fatale

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MessageSujet: Re: Erreur fatale Erreur fatale - Page 2 Icon_minitimeSam 1 Sep - 21:48

Ehawee ne s'était pas rendue compte tout de suite de la profondeur de sa blessure. Avec l'effervescence du combat et son corps échauffé par l'exercice, elle n'en avait pas eu conscience au début. A présent qu'elle était posée et au calme, la douleur se rappelait à elle comme une vieille amie un peu trop insistante et désagréable. Heureusement, l'onguent de Hanska apaisait la douleur et l'empêchait de s'infecter, mais il lui faudrait quelques point de suture pour guérir rapidement.
La jeune femme n'avait pas de quoi se soigner sur elle, car après tout, elle n'avait pas l'habitude de se faire attaquer ou de se blesser aussi grièvement, et ce malgré sa maladresse naturelle. Cela lui apprendrait à jouer les héroïnes... Ce qui lui importait vraiment était la sécurité de Julia, et elle était heureuse de la savoir saine et sauve.


Ehawee releva la tête vers la nouvelle venue et la détailla. Sa peau était sombre, couleur chocolat, et ses cheveux noirs comme l'ébène. Elle était grande et forte, et l'aura qu'elle dégageait était faite de douceur et de volonté. Une aura qu'Ehawee trouvait incroyablement apaisante et réconfortante, comparée à ce qu'elle avait pu voir à Londres ces derniers mois. Et la jeune femme ne ressemblait pas aux occidentaux à la peau d'ivoire et au regard cruel qu'elle voyait tous les jours. Elle était différente... Ehawee n'aurait su exprimer cela par des mots, c'était un ressentit avant tout.
Néanmoins, quand cette femme a la peau noire s'approcha d'elle, la russe eut un mouvement instinctif de recul, comme si elle cherchait à se protéger d'une attaque. Les gestes doux de son interlocutrices finirent par briser le rempart de sa méfiance, et elle se laissa approcher avec un léger soupir, qui s'adressait à elle même. La jeune femme n'aimait pas se méfier à ce point des gens. Elle aimait pouvoir leur accorder sa confiance avec un simple regard, mais la fatigue la rendait farouche.


-Je... Je n'ai pas d'argent pour payer un médecin, malheureusement. Je trouverai bien une aiguille à coudre et du fil en rentrant..., dit-elle avec un sourire aimable.

Ehawee n'aimait pas beaucoup l'idée de recoudre une plaie ouverte avec du fil de couture, mais avait-elle vraiment le choix? Le peu d'argent qu'elle gagnait, elle le volait, et il lui servait à acheter sa nourriture et payer une partie de son logement. Les médecins coutaient horriblement cher, surtout en cette période. Soigner était devenu un luxe que peu de gens pouvaient s'offrir.

-Oui, cette jeune femme s'est changée en loup garou. Sous mes yeux, répondit la russe en hochant la tête. Impossible pour nous de la contrôler, elle a perdu ses moyens en très peu de temps, et la bête qui l'habite est emplie d'un sentiment de rage si puissant qu'il nous a fallut nous entraider avec l'autre lycanthrope pour en venir à bout. J'ai eu peur que nous l'ayons tué...

La jeune femme se mordit la lèvre avant de reprendre.

-Il y avait un autre lycan avec moi, oui! Qui pouvait prendre l'apparence d'un grand aigle. Il s'appelle Hanska, mais je n'ai pas pu en apprendre davantage. Après nous avoir soigné, la jeune dame et moi, il a reprit son envol et est repartit sans rien ajouter. Je ne sais rien de lui, c'est assez déroutant... J'aurais voulu pouvoir le remercier pour son aide, mais...

Ehawee haussa les épaules. Qu'y pouvait-elle, si cet homme était peu loquace? Rien de plus. Elle ne se formaliserait pas là dessus, car après tout il l'avait aidé, sans rien lui demander en retour.

-Je n'ai jamais vu de bête aussi puissante. A vrai dire, je pensais que les loups garous étaient des légendes. Mais leur force est brutale, bestiale et totalement inhumaine. Leur hurlement sont d'une tristesse déchirantes, et la rage dans leur regard... On aurait dit une bête meurtrit, blessée... Ce n'est pas tant la peur que l'envie de lui venir en aide qui m'est venu à l'esprit.

Le regard plongé dans le vague, Ehawee repensait à ce qu'elle avait vu. Les loups garous étaient-ils donc aussi monstrueux que la légende le disait? N'était-il pas simplement prisonnier du cycle éternel de la lune? Pris au piège dans un cercle sans fin, condamnés à se tapir dans l'ombre d'une âme humaine à chaque nouvelle lune? Tirée de ses pensées par la jeune africaine, Ehawee lui sourit gentiment.

-Vous avez raison... Qui sait quel mal elle aurait pu faire autour d'elle... Et le mal qu'elle aurait pu se faire à elle-même, aussi! Puis elle éclata de rire et porta sa main libre à ses cheveux avec un air quelque peu gêné. Ah... Oui, vous avez vu juste, je ne suis pas de Londres. Mon anglais est encore un peu bancale, je viens de Saint Petersbourg, en Russie! J'y ai vécu pendant dix neuf ans, je suis à Londres que depuis une petite année. Tout est si différent de la Russie, je m'en étonne tous les jours! Je m'appelle Ehawee.

Son nom n'avait certes rien de russe, mais elle le trouvait plus mélodieux que Natacha, et il était affilié à un souvenir bien plus fort. Pour peu que le sujet dévie, Ehawee pouvait retrouver très rapidement sa joie de vivre et sa capacité à parler de tout et de rien en permanence. Cette grande bavarde pouvait trouver de l'intérêt dans le plus insignifiant des sujets de conversation. Ecarquillant les yeux, elle resta bouche bée quelques secondes avant de reprendre.

-L'Afrique? Quelle merveille! J'en ai entendu parler de nombreuses fois, on raconte tant de choses sur ces terres! Malheureusement, je n'ai jamais eu l'occasion de voyager en dehors de la Russie ou de Londres... Que pouvez vous me dire de votre terre natale?

Mais avant que Noa n'ait pu lui dire quoi que ce soit, un suricate se tenait à sa place. L'adorable petit être beige se dressa sur ses pattes arrière, son petit museau remua doucement. Ehawee écarquilla les yeux en laissant échapper une exclamation enjouée. Elle n'avait encore jamais vu d'entité aussi petite et agile. Tendant la main, la jeune femme ne put résister à l'envie de lui caresser le dessus de la tête. Son pelage était doux et tiède, agréable au toucher.

-Ravi de vous rencontrer, Tal'nam! Je vous aurais bien présenté Selena, ma louve, mais j'ai peur d'être un peu faible pour cela..., dit-elle avec un sourire sincère et désolé. Selena est comme une seconde mère pour moi, elle m'a toujours apporté le réconfort dont j'avais besoin! Macha est plus solitaire, mais elle m'a toujours protégé et malgré son air bougon, elle est de bonne compagnie!

Ehawee rit à nouveau et le regretta très rapidement. Grimaçant, elle appuya un peu plus fort sur sa blessure. Le contact du petit animal roulé en boule à côté d'elle la fit cependant sourire, mais elle jeta un regard quelque peu paniqué à Noa à sa dernière question. La jeune femme lui était sympathique, et Ehawee ne voulait pas gâcher cela en lui annonçant qu'elle vivait dans un bordel et ne gagnait sa vie qu'en volant. La jeune fille n'était pas fière de ce qu'elle faisait, pas plus qu'elle ne portait fièrement sa couverture de courtisane.

-Hum... J'ai bien peur qu'il n'y ait trop de monde, chez moi... Et ce n'est pas un lieu très... Distingué. Si cela ne vous ennuie pas, je préfère vous suivre! Nous pourrons continuer à discuter au calme, et vous pourrez m'en dire un peu plus sur vous, qu'en dites vous?

Ehawee était curieuse de nature, et particulièrement sociable. Bien que maladroite, elle aimait en apprendre toujours plus sur les gens, les connaître... Mais elle ne pourrait échapper à la réciproque. Il lui faudrait sûrement parler d'elle, et s'il y avait bien une chose qu'elle ne savait pas faire, c'était bien mentir!
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Noa
Membre de l'Ombre
Noa
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Date d'inscription : 09/06/2011
Race : Lycanthrope
Classe sociale : Bourgeoise
Emploi/loisirs : Astronome/Gardienne
Age : 32 ans
Entité n°2 : Suricate du nom de Tal'nam.
Crédit Avatar : I don't know.
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MessageSujet: Re: Erreur fatale Erreur fatale - Page 2 Icon_minitimeLun 3 Sep - 20:16

Visiblement, la jeune femme allait garder un douloureux souvenir de cette rencontre avec le Loup-Garou. Que pouvait-elle en garder d'autre ? Une balafre sur le côté, ça c'était certain. Si elle s'était retrouvée dans le coin pour se promener paisiblement, elle devait être bien déçue ! Comment imaginer que l'on puisse croiser pareille bête en ces lieux ? Noa savait que les Loups-Garous traînaient parfois en ville mais c'était très rare. En général, ils arpentaient la lande, et elle était bien placée pour le savoir puisqu'ils venaient régulièrement rôder autour de son observatoire. Mais ils restaient finalement distants et désintéressées de la structure en dur qui s'offrait à eux. En effet, les Loups-Garous ne cherchaient qu'une chose : la vie pour mieux la détruire, le sang pour mieux s'en nourrir, la chair et l'os ! Frapper toute la nuit contre les portes de son observatoire les avait vite ennuyés et ils s'étaient maintenant tous fait à l'idée qu'il était inutile d'insister. Ils allaient donc rôder près de la ville, à ses abords, sur les rives de la Tamise, parfois jusqu'aux quais, mais ils n'entraient pas dans Londres pour parcourir ses rues, c'était bien trop dangereux pour eux et surtout éclairé de lampadaires à huile assez réguliers pour les dissuader de risquer leur fourrure en allant jusqu'au centre. Cette fois-ci, c'était tout de même à Regent's Park qu'avait eu lieu l'agression ! Si près du zoo, si près des habitations ! C'était un de ces cas isolés qui devait certainement être dû à un problème plus en aval. Il n'était pas difficile de comprendre que la jeune femme qu'elle avait aperçu tout à l'heure avait dû perdre le contrôle plus tôt que prévu. A moins que ce ne soit carrément sa première transformation, ce qui était une hypothèse qui tenait la route.
Noa n'insista pas sur le sujet, l'éludant presque pour éviter de gêner la Lycanne. A quoi bon s'accrocher à ces lugubres questions ? L'essentiel était que l'Humaine avait finalement été maîtrisée et que personne n'avait péri sous ses coups. Désormais, il fallait soigner cette vilaine plaie et avancer.

Comme elle s'y attendait, la Lycanne venait de Russie et précisément de Saint-Pétersbourg. Noa lui sourit chaleureusement.


- Ha ! Je m'en doutais, votre accent est fort, mais cependant je ne trouve pas cela disgracieux, au contraire, cela vous donne une touche d'exotisme que l'on ne rencontre pas tous les jours dans cette ville...ça change.

Noa était sincère. Elle, qui était noire et qui portait un léger accent dû à ses nasales appuyées, était regardée comme une étrangère et une curiosité tout simplement parce que même si la capitale anglaise commençait à recevoir de plus en plus de visiteurs étrangers, il était rare d'en croiser vraiment. Souvent, ces derniers finissaient dans les rues à mendier leur pain et la société passait complètement à côté. De temps en temps un accent écossais ou irlandais venait animer les bars, un accent français aussi, les francophones étaient nombreux dans la région, mais l'accent russe restait exceptionnel.

- Saint-Péterbourg...murmura l'Africaine pour elle-même. Je n'y suis jamais allée. Cela me semble froid...

La Suricate rit un instant puis elle se redressa pour sauter au sol. Ehawee venait de s'extasier devant ses origines. Finalement, l'une comme l'autre semblait passionnée par les contrées absentes de leur carnet de route.

- Sur l'Afrique ? Répéta Noa à travers son entité.

Tal'Nam reprit le relais et s'exprima de sa propre voix. Elle était bien plus indiquée que Noa pour parler de ce pays.


- C'est un lieu très sec et très pauvre. Les gens n'y vivent pas du tout de la même manière que vous. Évidemment nous avons des similis de villes mais cela reste tout de même une multitudes de petits villages éparpillés dans le sable et les roches. Noa y a très peu vécu finalement.

La suricate hésita puis elle reprit avec l'autorisation de Noa.

- Elle y est née, nous aussi, et nous sommes restées pendant seulement huit ans. Des esclavagistes ont décimé sa tribu et nous nous sommes retrouvées ballottées entre la mer, la France et l'Angleterre. Notre histoire n'est pas très heureuse.

Le petit animal se mit à sautiller d'un air plus joyeux.

- Mais l'Afrique reste notre terre ! Elle est jaune et orange, chaud et pleine de surprises ! L'eau coule dans son sous-sol, il faut creuser pour la trouver, mais elle est bien là ! Et les animaux là-bas sont énormes ou minuscules, il n'y a jamais de demi-mesure en Afrique. Les Éléphants, les antilopes, les fourmis et les scorpions...Moi je mange des serpents ! Neïma chasse avec les lions la gazelle et Noa aussi ! Enfin...ça c'était avant. Maintenant on s'occupe des étoiles et des enfants.

La petite suricate esquissa un sourire comme le lui permettait sa physionomie. Cela eu l'effet de la rendre tout à fait craquante. C'était ainsi : Tal'Nam était bavarde, heureuse et éveillée comme aux premiers jours de leur périple. C'était une entité pleine de vie et d'humour.
Revenant sur la caisse, elle se laissa caresser, même si elle n'y était aucunement habituée.

Noa continua à travers sa bouche. Elle demanda à Ehawee ce qu'elle faisait dans la vie et si elle désirait rentrer chez elle ou venir avec elle dans son hôtel. Une ombre sembla passer sur le visage de la jeune russe. Apparemment, la perspective de se rendre chez elle ne lui convenait pas. Était-ce de la peur ? De la gêne ? Noa ne voulait pas savoir. Si cette jeune femme lui disait qu'elle serait mieux en sa compagnie dans sa chambre d'hôtel, l'Africaine n'allait pas en chercher la raison immédiate. Pour elle, l'important c'était que cette vilaine blessure soit désinfectée et bandée.


- Vous avez une famille nombreuse ? Demanda alors Tal'Nam sans prévenir. C'est comme chez mes frères et sœurs, on est toute une colonie normalement, mais moi je suis une entité, je n'ai que Noa et Neïma.

La petite bête fut interrompue par la transformation de Noa qui reprenait les rennes. Une fois revenue sous sa forme humaine, l'astronaute se passa une main dans les cheveux et s'excusa :

- Pardonnez mon entité, elle est très démonstrative...Venez, je vous emmène à l'Albany. Le maître d'hôtel doit être encore à moitié endormi sur son bureau. Il ne nous embêtera pas.

Lentement, Noa aida Ehawee à se relever, prenant garde à sa blessure. L'hôtel n'était pas tout près, il allait falloir qu'elles marchent une bonne demi-heure. Cela n'allait pas être évident pour la jeune russe. Prendre leur mal en patience, voilà ce qu'elles allaient faire.

Sur le chemin, Noa continuait d'entretenir la conversation tout en laissant le soin à Tal-Nam de lui confier une partie de sa vue et de son odorat. Il fallait éviter d'être à nouveau attaquées, que ce soit par un homme ou une bête. Rester attentives devait être une priorité avec la blessure d'Ehawee. Évitant soigneusement de parler famille, l'Africaine reprit sur leurs pays respectifs.


- Alors comme ça vous venez de Russie... ? Est-ce vrai que la neige recouvre toute la contrée une bonne partie de l'année ? Nous en Afrique n'avait pas de neige, ou presque. Certains monts en avaient, à leur sommet, mais il n'a jamais fait très froid. Depuis que je suis arrivée en France, puis en Angleterre, le climat ne me sied guère. La pluie, le vent, le gel...Cet hivers a été épouvantable mais heureusement que dans mon laboratoire l'aménagement reste colossal. C'est grâce à mon travail dans les orphelinats et aux dons que je reçois régulièrement, sans cela je resterai à l'hôtel ou dans la rue. Je n'ose imaginer ce que je ferais sans mes lunettes astronomiques...

Noa se faisait bavarde à son tour. Ce n'était pas vraiment parce qu'elle avait besoin de parler, au contraire, Noa avait beau être une femme très avenante et sociale, elle n'avait pas l'habitude de raconter sa vie au premier qui acceptait de l'entendre. C'était en réalité une stratégie délicate pour forcer la Russe à penser à autre-chose qu'à sa blessure qui devait la lancer durement à chacun de ses pas. Il fallait qu'elle l'oublie le temps du trajet pour avancer plus vite et arriver enfin à l'Albany. Noa songeait en même temps à la façon dont elle allait s'y prendre en franchissant les portes de l'édifice. Fallait-il qu'elle paye pour elle cette nuit ? Le maître d'hôtel était un homme bon malgré son petit air mesquin et même s'il semblait privilégier largement les bourgeois et aristocrates qui débarquaient par dizaine chaque nuit, il appréciait assez l'Africaine pour lui accorder quelques avantages. En soit, c'était son métier et sa réputation qui lui faisait accepter sa présence. Sans cela, rien que pour sa couleur de peau et ses vêtements, il l'aurait tout de même laissée sur le pallier. Noa jouait beaucoup de sa réputation d'astronaute. Cela l’aidait souvent en société.

Enfin, les jeunes femmes arrivèrent à l'Albany.


[HRP/ Suite à l'Albany, ''Compresses''/HRP]


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