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Maria Moonshire ~ Faites moi plaisir... Entrez.

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Maria Moonshire
Membre de l'Ombre
Maria Moonshire
Nombre de messages : 12
Date d'inscription : 26/12/2017
Race : Homonculus
Classe sociale : Bourgeoisie
Emploi/loisirs : Dirigeante d'un bordel
Age : 69 ans
Age (apparence) : ~ 30 ans
Crédit Avatar : Exellero / NeexSethe / AntarticSpring
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MessageSujet: Maria Moonshire ~ Faites moi plaisir... Entrez. Maria Moonshire ~ Faites moi plaisir... Entrez. Icon_minitimeMar 26 Déc - 20:46



Maria Moonshire




~ Le plaisir n'égare pas les gens... Les gens s'égarent par eux mêmes. ~



Fiche d'identité




Prénom: Maria
Nom: Moonshire
Surnom: Princesse des sombres délices
Sexe: Féminin
Âge réel: 69 ans
Âge d'apparence: Une trentaine d'années
Origine: Anglaise
Classe sociale: Haute bourgeoisie
Emploi: Dirigeante du bordel Infinity




Race: HOMONCULUS



Nature: Native du "tabou", Maria est née suite à la tentative de résurrection d'une ancienne prostituée dont était tombé amoureux l'alchimiste ayant procédé à l'expérience, après avoir utilisé les autres filles du bordel en "ingrédients".

Allégorie: Le plaisir. Maria est l'allégorie du plaisir incarné, par ce fait, elle est en recherche constante de ce dernier, ou tente d'en procurer, quel que soit sa forme. Le plaisir de chair, d'ivresse et de violence figurent cependant parmi ses formes préférées de plaisir obtenu.




Description physique



Taille: 1 mètre 69
Poids: 57 kg
Yeux: Rouge foncé, presque marron
Cheveux: Blond platine (presque argenté)

Description détaillée: Assez grande et aux formes plantureuses, Maria est une véritable femme fatale. Toujours soigneusement maquillée et dans des vêtements d'une certaine beauté, l'hommonculus fait son maximum pour être désirée, et ce en partie en raison de son emploi. Se déplaçant toujours d'une manière féline, la dame marche en "catwalk" lorsqu'elle n'est pas dans la rue, afin de renforcer l'image d'une femme "séduisante". Maria est également souvent parfumée, dégageant une odeur envoûtante de roses et de cerises. Ses cheveux sont longs, et toujours propres.

Vêtements: Toujours dans l'optique de dégager une image "propre et séduisante", Maria porte presque constamment de longues robes aux fines broderies, ou bien des robes plus modestes, cernées par un corset mettant les "atouts naturels" de la dame en valeur. Il n'est également pas rare de la voir adopter des coiffes travailler ou des chapeaux, habillant sa longue chevelure coiffée d'une manière plus ou moins travaillée. Elle adopte dans la même optique de nombreux accessoires, bagues ou bijoux divers, accompagnant un éventail dont elle se sert pour "communiquer" implicitement avec ses filles, ou certains clients.

Particularités: Mis à part sa chevelure presque argentée, Maria ne possède pas véritablement de signes particuliers, à l'exception de son tatouage d'homonculus, qui se trouve entre ses salières de vénus (fossettes sacro-iliaque, dans le bas du dos).




Caractère



En public: Lorsqu'elle est en public, Maria est une femme douce, sensuelle, et toujours agréable, titillant seulement parfois son entourage avec quelques remarques cyniques. Elle s'énerve très peu et semble toujours sûre d'elle, mais dégage cependant cette aura érotique, ne cachant que très peu ses envies aux autres. Elle ne masque également ni son appétit, ni sa soif d'ivresse, se livrant très souvent à quelques orgies avec ses "filles" ou quelques chanceux clients. Maltraiter ses filles sans que cela n'ait été stipulé au préalable par le client à cependant tendance à l'agacer, menant parfois à des sautes d'humeurs assez violentes.

En tant qu'Homonculus: Recherchant constamment le plaisir, Maria ne sait que très peu où s'arrêter lorsque son allégorie prend le dessus et que le plaisir lui brouille la raison. C'est ainsi qu'à plusieurs reprises, l'homonculus s'est retrouvée à dévorée une personne avec qui elle pratiquait des relations sexuelles, qu'elle usa de son pouvoir sans y prêter gare, mettant et sa vie et celle de la personne visée en danger. Elle se montre donc bien souvent jusqu'au boutiste dans ses actions, bien qu'avec le temps, elle a apprit à mieux se contrôler. Lorsque sa colère ou le plaisir obtenu en tuant quelqu'un prend le dessus cependant, elle montre un visage bien plus cruel et sadique, totalement inhumain par ses actions, qui trahit également son état. Lorsqu'elle doit "recharger" sa pierre, la dame tente le plus possible de viser les populations pauvres, principalement pour ne pas éveiller l'attention, mais dévore parfois certaines de ses filles, lui offrant un rechargement plus "pratique".

Loisirs: S'adonnant à de très nombreux plaisirs, la demoiselle jongle entre orgies, banquets, lecture, musique et... Meurtres.

Religion: L'hédonisme, plus un mode de pensée qu'une religion. Au delà de cette volonté, elle ne croit en rien.

Qualités: Voluptueuse, douce, sensuelle... Nombreuses sont les qualités de l'homonculus, qui s'avère être la meilleure des amies ou amantes que l'on puisse avoir, tant son plaisir d'offrir et de vivre la rendent agréable, pour peu qu'on passe outre le fait qu'elle soit inhumaine et dépourvue d'âmes, ne comprenant pas les émotions basiques comme l'amour (ici surtout la fidélité dans un couple, par exemple), ou bien encore la peur ( découverte d'un cadavre, etc...). Elle se montre également "protectrice" pour ceux qu'elle "estime", cherchant à en tirer le maximum de plaisir, et à en leur donner tout autant.

Défauts: Obsessionnelle quand à sa recherche de plaisir, Maria peut vite devenir dangereuse sans même s'en rendre compte si son côté homonculus prend trop le dessus. Lorsqu'elle décide également de combler son plaisir macabre, elle montre également son manque d'âme et ne fait que moyennement la différence entre alliés et ennemis, se montrant parfois tout aussi dangereuse et sadique avec les uns comme les autres. Avec le temps, l'homonculs est cependant parvenu à limité cela, même si son voyeurisme sadique la pousse encore parfois à laisser volontairement des alliés en situation "complexe". Son jusqu'au boutisme est donc son principale défaut, puisque cela la pousse également à utiliser son pouvoir régulièrement, mettant sa vie et son "identité secrète" en danger.




Background



Résumé: Si l'on veut résumer la vie de Maria, on peut utiliser un mot unique pour cela: l'hédonisme. Née suite à une expérience ratée dans la ville de York, Maria quitta cette dernière après quelques années et une confrontation difficile avec l'alchimiste à l'origine de sa création. Depuis son arrivée à Londres, la dame est passée de simple prostituée à dirigeante de bordel, et a accumulé un nombre considérable de richesses, se plongeant en parallèle dans le plus de plaisirs possibles, allant de la simple luxure à la gloutonnerie ou l'ivresse absolue, se plongeant également dans les drogues légales et illégales. Surnommée princesse des sombres délices, elle règne aujourd'hui sur son bordel, se noyant dans un plaisir quasi constant tout en veillant à assurer sa propre survie.

Education
- La musique: Maria est une musicienne hors-pair, jouant principalement du violon et du piano, elle est également excellente avec une flutte traversière. Cependant, elle préfère assister à un concert ou écouter une musique, qu'y participer, prenant un grand plaisir à entendre les plus beaux morceaux.
- Les sciences: Bien que le plaisir d'apprendre est présent chez elle, l'homonculus ne s'est que très peu intéressée aux sciences diverses, se focalisant princiapelement sur d'autres activités qu'elle trouvait plus "palpitantes".
- L'Alchimie: Même si elle est née de cette dernière, Maria ne peut, comme tout ceux de son espèce, pratiquer l'alchimie et ne s'y intéresse donc pas. Se moquant des tenant et aboutissant de sa création, elle voit l'alchimie comme sa génitrice, et c'est tout. Elle garde cependant une grande complicité avec les créatures alchimiques qu'elle peut rencontrer.
- Les langues: Maria parle l'anglais normalement, et à part le langage corporel, cette dernière a développé avec les autres prostituées de son bordel un langage des signes bien propre à elles à l'image du langage de signes monastique, afin de communiquer pendant une orgie, un banquet, ou sans attirer l'attention d'un client.

Histoire: Mon histoire.... Dîtes-moi, Invité, quelle histoire souhaitez-vous entendre? Celle de mes souvenirs, ou celle que j'ai construite?

Les souvenirs que je possède, qui remontent à avant ma "création", me replongent dans la ville de York, d'une enfance au sein d'une famille de fermiers, d'un bordel où j'officiais, et de cet alchimiste, qui m'a causé tant de problèmes, qui m'aimait. Ou.. Qui aimait celle que j'étais? Je me souviens de sa rage, de ses cris lorsque je lui disais ne pouvoir le suivre dans ses aventures. De ses coups. De ses nombreux coups sur mon visage, mes cottes... De ce bruit infecte, du craquement de mes os. Du noir.

Puis de mon réveil, de ma mutation, et ma vraie naissance. Du début de la création de MES propres souvenirs.

Mes premières années furent compliquées. Je parcourais York, à la recherche de cet alchimiste, comment se nommait-il déjà? Ah oui... Alvin. Je ne sais trop pourquoi je le cherchais, peut-être un résidu de mes souvenirs? Quoiqu'il en soit, j'errais dans cette ville, découvrant le plaisir qu'était la vie. La nourriture, l'alcool, le sexe. Tout cela était si bon. J'en voulais plus, mais je voulais aussi le revoir. Au bout d'un moment, je tombais sur lui. Il était abattu, alcoolique, pitoyable. Il me reconnut presque instantanément dans cette taverne, je suis certaine qu'ils savaient pour mon état, ce que j'étais. Mais il se voilait la face. Il se jeta sur moi, m'embrassa. Je ne résistais pas. Il savait y faire. C'était agréable. Un plaisir me parcourut le corps. Un désir également. Je plaçais mes mains contre son visage, savourant le plaisir de ses lèvres contre les miennes, tandis que mes mains s'humidifiaient de la chaleur de ses larmes salées. Lorsqu'il acheva ce baiser, il me lança un flot de mots que je n'écoutais pas, mon regard brûlait d'une soif de plaisir, je le désirais, tout comme je désirais la bouteille d'alcool qu'il avait entamé, son baiser m'avait laissé un goût de vin, un goût que j'appréciais. Je me revois le tirer vers un coin sombre pour l'embrasser de nouveau, le déshabiller. De nouveau, je sombrais dans les plaisirs charnels, au coin d'une rue miteuse, avec un homme qui me prenait pour quelqu'un que je n'étais pas. Ce jeu me plaisait, même si je savais que l'alchimiste refusait de me voir comme l'homonculus que j'étais. Après nos ébats, je me souviens de sa proposition, de sa volonté que je l'accompagne, de ses excuses quand aux coups qu'il m'aurait porté, qu'il n'était pas lui même ce jour là et qu'il avait tout fait pour me faire revenir. Je n'y voyais pas d'intérêts, mais je ne voyais pas d'intérêts non plus à refuser. Alors j'acceptais, dans l'espoir que sa compagnie m'offre d'autres plaisirs. Et diable qu'elle m'en apporta. A ses côtés, dans sa maison provisoire, je me fondais dans la nourriture, trouvait un appétit et un plaisir certain à manger, boire, et coucher avec lui. Les livres se trouvant dans sa bibliothèque attisèrent également mon attention, et le plaisir d'apprendre et découvrir de nouvelles choses. Un jour, Alvin se blessa, manipulant des ustensiles tranchants. Je le revois, se tenant la main alors que le sang giclait, tandis que j'observais la scène, mordant ma lèvre inférieure et prenant plaisir à le voir souffrir. Nos ébats devinrent un peu plus violents à partir de ce jour. Je le mordais, le griffais, voulait le voir avoir mal, tandis que je lui procurais du plaisir. Mais il n'était pas suffisant. J'avais besoin de plus de plaisirs, de ressentir d'autres choses, d'enivrer mes sens. Et je me sentais faiblir. Je partais au crépuscule et suivais une jeune prostituée dans les rues de la ville jusqu'à son "bordel". J'y entrais et louais ses services, et découvrais une autre sorte de plaisir charnel que je ne connaissais pas. Elle semblait prendre tout aussi de plaisir que moi, si ce n'est plus. Je rentrais par la suite chez Alvin, envieuse de découvrir de nouveaux plaisirs le lendemain. Un mois s'écoula ainsi, où j'allais au bordel et profitais de la compagnie et des prostituées, et de quelques clients s'y rendant, leur donnant gratuitement ce que les femmes leur aurait donné. Je testais les différents plaisirs que la vie pouvait m'offrir. A trois. A quatre ou plus. Avec de l'alcool. De la nourriture. De l'opium.

Un matin, lassée du bordel, je faisais venir les gens chez l'alchimiste, consommant les plaisirs qu'on m'offrait sur place, comme une reine. Ce fut dans ce spectacle de débauche qu'un nouveau plaisir s'éveilla, le plaisir de tuer.
Tout parti de cet homme, ce blondinet un peu trop confiant en lui qui voulait que je le domine pendant l'acte, et ce de manière rapide car l'alchimiste pouvait rentrer. Le plaisir que me procurait ces relations dangereuses était indescriptible tant il m'était agréable. Seulement, alors que nous donnions l'un à l'autre, que je le mordais, ce plaisir sadique s'éveilla de nouveau en moi, et, sur un coup de tête, je lui arrachais un doigt avec mes dents. Ses hurlements me procurèrent un plaisir d'autant plus grand qu'il était encore en moi. Le plaquant contre le lit avec une force qu'il ne soupçonnait visiblement pas, je continuais de le dévorer, petit à petit, faisant stopper ses hurlements une fois sa gorge arrachée. Je terminais de dévorer ses viscères lorsque l'alchimiste entra, et me découvrit, nue, en train de dévorer un humain. Son regard. Je me souviens de ce dernier. Du plaisir que sa peur éveilla en moi. Il me craignait. Je le dégoûtais. Le plaisir macabre qui se dégageait de cette scène était si délicieux... Pourtant, il ne me chassa pas directement, déclarant que c'était un effet secondaire, que je devais lutter, que ce n'était pas "moi". Mais pourtant... Dévorer l'autre type m'avait renforcé, je le sentais. Aussi, le lendemain, je me replongeais dans des plaisirs charnels, ne me souciant plus de la présence de l'alchimiste ou non, qui rentra pour me retrouver cette fois, en plein ébat avec cinq hommes et trois autres femmes. La fidélité est un concept que je trouve encore aujourd'hui étrange. Pourquoi s'arrêter à une seule personne lorsque le plaisir peut être démultiplier avec différents partenaires? Enfin... Cela en serait sûrement resté là si je n'avais pas, devant l'alchimiste, laissé de nouveau ce plaisir sadique et morbide m'envahir, me faisant arracher la tête de l'homme le plus proche pour commencer à la dévorer. Les cris qui emplirent la pièce, la panique des personnes présentes, la rage dans les yeux de l'alchimiste, ce plaisir ressenti... J'en frissonne encore aujourd'hui. Il tenta de se jeter sur moi, confus, oubliant ses propres connaissances en alchimie, comme si j'étais la prostituée qu'il avait autrefois connu.
Je le revois me planter avec son arme dans le ventre, m'observer alors que je me régénérais devant lui. Au cours des derniers mois, alors que je m'adonnais à différents plaisirs, j'avais aussi pratiqué les plaisirs masochistes, et vu que les blessures ne m'affectaient pas...
Alors que ma plaie se refermait, je lui brisais les poignets, et le plaquais contre un mur, commençant à l'étrangler. Un pouvoir s'éveilla alors en moi, quelque chose que j'utilisai alors comme si je l'avais toujours possédé. Une vague de plaisir, intense, jamais ressentie jusqu'à lors, parcourut l'ensemble de mon corps, me faisant trembler dans une extase infinie, qui parcourait visiblement également celui que je tenais devant moi. Mon emprise sur lui se referma, alors que le plaisir s'intensifiait, et avant que je ne réagisse, j'avais arraché sa tête et mordait frénétiquement son cou, observant l'expression d'intense plaisir qui parcourait encore son visage mort. Revenant peu à peu à la raison, je décidais qu'il me fallait partir. Non pas par crainte quelconque qu'on me retrouve, mais car j'avais entendu parlé d'une ville plus grande, regorgeant de mets, de plaisirs, bien plus diversifiés et nombreux qu'à York.
Plus jamais je ne revins là bas, et je ne sais pas si quelqu'un m'y cherche encore, cela fait tant d'années....

Les années qui suivirent virent mon arrivée à Londres, et mon engagement dans une maison de prostitution, afin de gagner de l'argent facilement pour me permettre d'acheter de quoi me faire plaisir, et pouvant également savourer le plaisir de la chaire là bas. Les prostitués m'apprirent énormément, que ce soit pour notre "travail" commun, ou bien pour ma propre culture. Je découvrais, grâce à l'argent obtenu via des clients "généreux", le plaisir d'assister à un théâtre, un concert, d'apprendre à jouer de la musique, de goûter à de meilleurs plats, et boire de meilleurs boisons. Chaque fois que ce plaisir sombre en moi s'éveillait, je quittais le bordel où je travaillais, errant dans les quartiers pauvres à la recherche de quelqu'un que personne ne regretterait, principalement pour ne pas attirer l'attention. Si le plaisir d'être traquée était quelque chose de sympathique, je n'étais pas dupes, je savais qu'ici, le danger était plus présent qu'à York.

Bien plus tard, et lorsque l'argent me le permis, je m'achetais mon propre bordel près de la gare Euston, et recrutais mes premières filles. Jusqu'à présent, j'avais changé de bordel par deux fois pour ne pas éveiller les soupçons quand au fait que je ne vieillissais pas. Mais maintenant que je possédais mon établissement, les choses allaient changer. J'avais appris l'utilité de mon pouvoir, son coût en énergie, et ce qu'il avait de bon, et de mauvais. Aussi, je m'assurais d'offrir les plus grands plaisirs à celles qui travaillaient pour moi, tout comme à mes clients, créant une réputation murmurée mais certaine pour mon établissement.

Aujourd'hui, je baigne presque constamment dans des plaisirs qui feraient mourir d'envie le moindre humain. L'alcool m'apporte cette euphorie si plaisante, le nourriture nourrit mon palais de saveurs si délicieuses qu'elles en sont exaltantes, et le sexe, accompagné de mon pouvoir et de divers drogues, m'apportent une extase certaine. Mon bordel fonctionne bien et les choses semblent relativement bien s’enchaîner les unes avec les autres. Seule ce plaisir sadique en moi peut encore me plonger dans des situations difficiles mais... Au fond... Le danger est lui aussi source d'un plaisir certain, brisant le confort d'une vie routinière...  




En société



Famille: Maria n'a pas de famille. Ce qui s'en approche le plus serait ses "filles", le nom qu'elle donne aux prostitués travaillant pour elle et partageant son lit. Ces dernières sont sous sa protection, bien qu'elles soient toutes addictes à l'homonculus, et lui servent parfois de "nourriture" pour sa pierre philosophale.

Ennemis: L'homonculus ne possède pas d'ennemis à proprement parler, ni de rival à abattre. Ceux qu'elle considère comme ses ennemis sont tout simplement ceux qui attentent à sa vie, ou cherche à lui nuire. Cependant, elle garde une méfiance certaine avec les hunters et les alchimistes, cherchant à s'en protéger par précaution.

Alliés: Tout le monde peut devenir un allié de Maria, pour peut qu'on montre qu'on est digne de confiance, ou qu'on produit assez d’intérêts pour l'homonculus. Malgré cette ouverture d'esprit, Maria possède des alliés bien présents dans la police, grâce à des clients fidèles, ce qui lui permet "d'effacer" certaines choses, et également quelques amis dans les gangs environnent, là aussi pour assurer sa protection et celles de ses filles.

Situation: Maria ne possède pas d'à priori envers les créatures de la nuit, ni envers qui que ce soit. Cependant, elle se lie "d'amitié" bien plus vite avec les autres créatures alchimiques qu'avec n'importe qui. Ceux qu'elle considère le moins sont les alchimistes et les hunters, bien qu'elle puisse les apprécier tout autant qu'un autre s'ils lui apportent plaisir et non menaces.




Localisation sur l'Ombre



Votre demeure: Maria vit au dernier étage de son bordel à la périphérie de la gare Euston, dans un grand boudoir où elle se comble dans divers plaisirs, se lave, et accueil les meilleurs clients de son bordel, ou les plus fortunés. Il n'est également pas rare qu'elle fasse venir certaines de "ses filles" pour partager ses journées, car ces dernières vivent également au sein du bâtiment où elles officient, faisant de ce lieu une sorte de grande colocation aux mœurs... ouvertes.

Endroits les plus fréquentés: Bien qu'elle passe le plus clair de son temps au sein de son bordel, nommé "Infinity", il arrive que Maria se balade en ville, allant la plupart du temps à de grandes réceptions festives, au théâtre, ou bien plus rarement dans les quartiers pauvres, afin de trouver une victime pour recharger sa pierre philosophale, et prolonger sa vie.




But(s)


Les buts de Maria sont très simples à comprendre: obtenir le plaisir le plus intense possible, et ce le plus souvent possible. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, la dame ne cherche pas à obtenir un quelconque pouvoir, et voit plus l'argent comme un moyen d'obtenir divers plaisirs que comme une finalité en soit. Ne cherchant pas particulièrement le conflit, l'homonculus est en recherche du plus grand nombre d'alliés possible afin de se protéger des quelques hunters ou alchimistes qui pourraient vouloir mettre fin à sa vie de débauche et d'hédonisme.




Armes et équipement



Armes: Maria ne possède aucune arme à proprement parler, exceptée sa force naturelle de par son statut d'homonculus.

Objets personnels: Maria possède une grande quantité d'objets sexuels dans son boudoir ainsi que quelques plants d'opium dissimulés chez des "amis" et fidèles clients du bordel. Elle en est une consommatrice régulière, mélangeant l'opium à des joints de cannabis afin d'en obtenir des effets plus intenses. La cave du bordel recèle également les meilleurs vins et la cuisine les mets les plus raffinés que Londres puisse compter, tout du moins c'est ce que l'homonculus prétend à ses clients.




Pouvoir



Plaisir addictif: Lorsqu'elle touche quelqu'un, Maria est capable d'insuffler une vague de plaisir dans le corps de sa cible, lui faisant ressentir les plaisirs les plus raffinés, qu'elle partage avec sa victime, dans une "overdose" d'endorphine. La cible de ce pouvoir devient très souvent dépendante de ce "plaisir interdit" et devient "l'esclave"de l'homonculus, comme un junkie devient esclave de sa dose de drogue. Le plaisir est tel que certaines cibles en perdent la raison, trouvant par la suite leur vie monotone et froide, cherchant à retrouver ce plaisir à tout prix.


Inconvénients: Il faut être au contact de la cible pour que le pouvoir fonctionne. De plus, l’obsession pour le plaisir de Maria fait qu'elle se met elle même en danger si elle use trop de ce pouvoir, et il lui faut recharger sa pierre si elle va trop loin. Les cibles avec une trop grande résistance mentale (principalement les personnages insensibles à la vieillesse par exemple) ressentent les plaisirs de ce pouvoir, sans en subir forcément l'addiction.


Forme monstrueuse d'homonculus cachée: https://i.imgur.com/UxWoOL1.jpg



Autres personnages



Questions IRL



Comment avez-vous découvert le forum?: Krieg

Votre niveau de RP?: Comme pour Dey, à vous de me le dire.




Crédits


Les images utilisées dans ce message viennent de :
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- NeexSethe / https://neexsethe.deviantart.com/
- Baklaher / https://baklaher.deviantart.com/
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~ Dans le boudoir de Maria Moonshire ~



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