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Ludwig - Calice du Comte

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AuteurMessage
Ludwig Zwitter
Calice du Comte Kei
Ludwig Zwitter
Nombre de messages : 43
Date d'inscription : 08/02/2013
Race : Humain
Classe sociale : Noble déchu sous la tutelle du Comte Keïsuke
Emploi/loisirs : Domestique/jouer du violon et du piano
Age : 32 ans.
Age (apparence) : La trentaine passée.
Ludwig - Calice du Comte Empty
MessageSujet: Ludwig - Calice du Comte Ludwig - Calice du Comte Icon_minitimeMer 20 Fév - 17:10

Ce personnage est disponible dans l'état pour toute personne qui désire en prendre le rôle. Contactez le Comte Kei pour en savoir plus! Wink

Il est forcément intimement lié au personnage du Comte Kei



Ludwig - Calice du Comte Sffjur

Fiche d'identité

Nom
Zwitter

Prénom
Ludwig

Sexe
Ludwig est indubitablement un Homme du bout des mèches à la pointe des pieds.

Âge réel
Zwitter arbore fièrement sa trentaine passée.

Âge d'apparence
Il fait son âge, 396 cycles lunaires. Et pour moins de tracasserie à compter : 32 ans.

Origine
En lui coule un sang venu d'Allemagne. Plus particulièrement, Berchtesgaden, sa ville natale.

Classe sociale
Autrefois, le Blond faisait partie d'une famille noble ancrée dans la plus pure religion. Mais maintenant, il s'affiche en tant que domestique. Il ne regrette pas la perte de son titre... Ni le changement brutal  de vie.

Emploi
Aux yeux des hommes, l'allemand est un serviteur qui s'occupe des instruments et l'organisation des bals. Et particulièrement du choix de la musique. Officieusement, Ludwig est un des calices personnels  du Comte et n'offre son sang qu'à son maître.


Race

Humain Basique



Description physique

Taille
L'allemand a une taille assez honorable. Il mesure du haut de son crâne à la plante de ses pieds 1 mètre 76.

Poids
Assez fin, il pèse environ une soixantaine de kilos. En vérité, la balance doit afficher le chiffre rond, 70.

Yeux
Deux orbes profondes semblables à deux saphirs. Un bleu qui envoûte et attire.

Cheveux
Une crinière blonde bouclée.

Description détaillée
Son apparence se détache doucement des êtres lambdas par sa chevelure blonde, bouclée, toujours tenue par un ruban et des pinces. Mais surtout, par la beauté de ses prunelles, deux orbes bleues qui donnent l'impression de se noyer dans un océan infini. L'un comme l'autre trahissent ses origines, l'Allemagne, sa ville natale, la terre qui l'a vu naître et qui l'a vu partir pour ne jamais revenir. Lorsqu'on se dégage de ces deux détails, on ne peux qu'apprécier la finesse du visage. Des traits un peu trop parfait, des lèvres souvent closes, des sourcils longs et fins, un nez aquilin. Un faciès tant désiré que haït. La silhouette de Ludwig est quant à elle fine, mélange d'élégance, de force pure et sauvage, mélange de glace et de feu.  Elle cache sous  le rempart de tissus, un homme aux muscles finement ciselés, à l'épiderme blanc et doux, qui porte dans son dos le reliquat d'un passé. Des marques de ceinturon presque effacées ornent son dos. Et, ne pourront partir à cause de la rancœur enfouie.

Vêtements
Ludwig arbore des vêtements de facture modeste. Son armoire se compose de vestons, de pantalons en lin, de chaussures soigneusement cirées et surtout, de cravates assorties à ses tenues tirées à quatre épingles.  Des vêtements loin d'être tapent à l'oeil par leur apparence ou coloris. Brun, blanc, bleu marine, anthracite ou noir. Jamais il ne porte des teintes criardes. Ses yeux ne le supportent pas. Pourtant, un rien l'habille. Un drap blanc ou juste des haillons ne lui feront pas perdre son éclat. Chose qui ne risque jamais d'arriver.

Parfois, par souci d’esthétisme et de paraître, il arrive à l'Allemand de porter des vestons en queue de pie, des gants blancs, une tête de rose ornant sa poche. Il est serviteur, "maître des mélodies". Lorsque tombe la nuit, ses atours sont tout autre. Sa chemise académique prend des allures plus noble : froufrous et jabots de dentelles émeraudes, opales, noires ou sanglantes... Nuque se dévoile pour le plaisir. Son pantalon met en valeur ses courbes et épouse parfaitement sa peau. Pour terminer la tenue, des bottes cirées remontent le long de ses chevilles..

Particularités
Sur son omoplate gauche se décèle une tache de naissance. En bas de son dos, des marques de ceinturons quasi effacés. Les boucles blondes de ses cheveux et le regard d'un bleu profond trahissent ses origines allemandes. Il possède une chose qui est d'une certaine façon "invisible" sur lui.. L'oreille absolue.


Caractère


En tant qu'homme
Sous le portrait de cet homme à l'aspect un peu trop parfait se cache une personnalité bipolaire. Une rose noire chargée d'épines, une verve acide presque mordante qui possède le don de toucher où ça fait mal. Parfois, avec des mots enrobés de finesse et un sourire sournois aux commissures des lèvres.  Surtout si  l'interlocuteur a taché l'estime qu'il porte à son maître. En ce cas, tout transpire en lui l'inéluctable rejet.

De ses lippes s'échappent du poison aux sonorités sensuelles. Des syllabes brutes, cassantes, aux bords de l’infamie. Bien des êtres ont désiré faire taire les jolies lèvres d'une bouche ou d'une lame.  Hélas, jamais ces rêves se sont apposés à la réalité pour réduire au silence la Vipère.  De un, il est "protégé" de deux, l'allemand reste phobique des touchers. Ou plus particulièrement n'aime pas donner l'autorisation qu'on s'égare sur sa peau sans acceptation. Aucune âme n'a ce droit si son intellect ombrageux la considère comme un "Déchet".

Les courtisanes qui ont  eu la chance de l'avoir dans leur lit pour satisfaire ses envies primaires contemplaient d'avantage l'oreiller que son visage. Sa main écrasait le haut du crâne pour les forcer à rester ainsi, lui permettant  de cette manière, de soulager son plaisir égoïste. Pas une fois, elles n'ont obtenues de lui le partage mutuel. Les Hommes, quant à eux, se contentent encore de lorgner son visage sans avoir la chance de frôler l'épiderme de satin. Ludwig ne compte pas pêcher maintenant avec ses homologues masculins. Même si dès fois, l'idée fleure dans sa tête, l'envie ne devient pas acte.

Noble déchu aux manières sauvages, se plier durant les ébats lui semble intolérable, presque impensable. Cela écorche sa fierté. Des mots et du regard, il exprimerait aimablement "crève" si une quelconque âme souhaiterait le voir dos contre le matelas, langoureux de désir. Paradoxalement, si son maître lui montre par gestes ou paroles qu'il veut d'avantage de lui, Ludwig satisferait ses exigences, sans broncher ni tiquer. Cela vient du fait que le Comte Kei possède toute son estime, son respect et une fidélité éternelle malgré ses quelques écarts volatiles. L'Eternel noble le fascine depuis leur première rencontre.. Il arrive à sublimer les choses par sa présence. Par ce simple détail, il mérite sa dévotion. Le servir reste un honneur et il ne fera rien pour entacher sa réputation.


Général
L'Allemand reste une personnalité bien complexe fragmentée en plusieurs facettes partagées entre le clair et l'obscur. Si les ennemis du Comte font face à un être brut, à la verve acide, sauvage, couvert d'une touche de sournoiserie, les serviteurs du manoir découvrent l'homme patient et bienveillant qui ne rechigne pas à aider. Une âme cultivée qui apprécie l'art, la poésie, la lecture et la musique. Et qui arrive à deviner quelle symphonie enchantera l’ouïe lors des bals. Jamais ils ne connaissent un raté lorsque tous ensemble, ils joignent leur talent.

Prenant à coeur son rôle, il leur offre de beaucoup son attention.  La plus admirable des preuves est son amabilité portée au second Calice Personnel de l'éternel noble. Malgré ses réticences à écouter des notes écorchées, il apprend le piano à Arnoldo. Il le reprend lorsque à ses oreilles, la mélodie lui semble fatalement dissonante.  A force de temps et de leçons, le jeune adolescent arrive quelques fois à reprendre comme il le faut des morceaux.. Enchantant au passage son "professeur" qui le récompense d'une main perdue dans les cheveux et de mots réconfortants. Le Blond n'ignore point la jalousie du plus jeune concernant le traitement que lui offre leur maître respectif. Il met l'écart de conduite sous le compte de la jeunesse.

Les disciples du Comte et les Sept voient le respect que Ludwig leur accorde et le côté courtisan qui transpire par chaque pore de sa peau. Il séduit et délecte par sa manière d'agir et ses atours. Et derrière le rempart du diamant policé, se dégage l'homme fidèle et silencieux préférant mourir que de trahir. Une personnalité forte tenant en haute estime celui qu'il place comme son "messie" et dont il lui offre toute sa loyauté, une fidélité implacable, tangible et immuable. Ludwig est bien incapable de rompre la fascination qu'il ressent et son désir d'être à son écoute... A son entière disponibilité.

Loisirs
L'Allemand en possède de nombreux. Lorsqu'il ne s'occupe pas de ses tâches aux manoirs ni des cours offerts au jeune Arnoldo, il se plonge corps et âme dans la musique. Le violon ou le piano l'enfonce dans une paix suprême.. Parfois, il se contente juste de boire un thé, regard perdu sur les nouvelles ou sur un livre. La nuit...Ecouter le Comte. Offrir sa gorge et profiter de ses caresses. Lorsque la lune est dans le ciel, Ludwig s'enroule dans la sensualité.

Religion
Autrefois, Ludwig devait se dévouer à Dieu, corps et âme. Il devait dire adieu la liberté et embrasser la voie du Seigneur. Aujourd'hui, il s'est détaché de lui. Il ne lui accorde plus ses prières ni ses voeux.

Qualités
Fidèle, loyal, cultivé, patient, bienveillant, calme, courtois, imaginatif, dévoué, fort, efficace, habile, joueur

Défauts
Intransigeant, lunatique, acide, sournois, inaccessible, ironique, maniaque, solitaire, vipère, implacable, ferme.


Background
Résumé
Né dans une famille noble ancrée dans la plus profonde religion, Ludwig était destiné à embrasser la voie du Seigneur, de devenir l'un de ses enfants chéris.... Privé de liberté. Enroulé d'austérité. Enfermé derrière les murs d'une église. Une soutane noire en tout vêtement et le voeux de chasteté en dogme. Mais.. Le sort a réservé un bien autre destin à Ludwig. Un soir d'hiver 1821, pour la première fois, le bleu des yeux croisa le visage du Comte... A ses pieds, les corps inanimés de ses parents. Tout d'abord stigmatisé par la peur, l'allemand restait debout devant la porte, silencieux.. Focalisé sur l'éternel noble éclairé par la lune, les lèvres tachées de sang. Coeur et âme l'écorchaient...Le paralysaient d'un doux poison.  Cette scène... le fascinait... Le visage de la mort était magnifique. Jamais aucune chose ne lui avait paru si beau, si confortable. La force qui l'étreignait l'ensorcelait. Ce Messie ne pouvait s'ôter de ses songes d'enfant.

Il suivit le meurtrier de ses parents à Londres sans ressentir une once de haine.  Un pénible voyage pour un si petit être... Mais, une traversée qui n'était pas rejetée. L’être chétif l'acceptait. Il tournait la page d'une histoire sanglante, d'un crime, d'un chemin refusé... Sa nouvelle destination possédait le goût de liberté. Oui.. Ludwig  remerciait le Comte... Il entra dans sa vie, liant son existence à la sienne. Se dévouant à lui, il s'habituait aux nouvelles mœurs, dialectes, habitudes. Il se libéra. Il passa de l'austérité  à l'apparence sauvage, précieuse et noble... Les pétales qui faisaient de lui un petit bourgeon s'étaient ouverts pour le dévoiler en tant que rose noire... Une rose au parfum de désir. Au fur et à mesure qu'il devenait plus une petite chose chétive mais un homme, sa dévotion et sa fidélité ne purent que s'accentuer. Il maîtrisait l'art et la musique... Il se renseignait sur les trames ombrageuses de Londres pour mieux servir les intérêts de son maître.. Papillon de nuit aux charmes empoissonné, il veille à garder son utilité. A offrir à l'Eternel noble, le poids de sa gratitude... De son estime car il sait du plus profond de lui, que s'il ne l'avait pas rencontré, il serait un prêtre enfermé derrière les murs d'une Eglise.. Ou il serait mort sous les coups.

Enfance
Sombre... Amère... Détestable... Ses premières années de vie se soldaient par une rancune... Une amertume valable. Un père et une mère qui forçaient leur enfant à embrasser la voie du Seigneur... Et parfois à la dur. S'il ne parvenait pas à réciter les psaumes ou à retenir les Saints... Le Paternel faisait claquer le ceinturon sur la peau de son dos. La morsure du cuir rougissait la peau pâle. Les larmes coulaient sur les joues pour peu à peu se tarir. Les sanglots n'augmentaient que plus la douleur et l'impuissance. Il finit  par se murer dans le plus pur silence... La souffrance en toute compagne.... Les poings fermés, le souhait que tout se finisse... Ou que justement ses parents comprennent qu'ils les aimaient.. Et que lui voulait juste être un enfant libre. Oiseau écorché, il voyait à travers la fenêtre des enfants de son âge jouant, sourire sur les lèvres. Envie. L'envie et la tristesse l'étouffait... Ce n'est qu'à ses onze ans qu'il pu renaitre... Connaître la saveur nommée liberté.

Éducation

- La musique: c'est un doux plaisir, une symphonie, une délivrance. L'Allemand l'aime et prend plaisir à jouer du piano et du violon. Il ne fait qu'un avec elle.
- Les sciences: Le Calice sait qu'elle est utile, mais, il ne viendra pas se plonger dedans. Les travers sont tellement tortueux que l'Allemand préfère s'en éloigner.
- L'Alchimie: Cet art ne le fascine point. Il ne cherche pas à en percer les secrets. Ce qu'il sait lui fut souffler par son Maître.
- Les langues: Ludwig possède trois dialectes : l'Allemand, l'Italien et l'Anglais.

Histoire



Spoiler:

RP joués
Aucun pour l'instant.


En société

Famille
Ayman Zwitter (1775 - 1821)
Sans l'ombre d'un doute, c'est un patriarche à l'éducation sévère qui préfère user du ceinturon que de la douceur. Aucune fois il n'a soufflé des mots doucereux et aimable à son dernier fils. Ludwig. Ce fut une erreur. Chaque fois qu'il pose l'émeraude de ses iris sur les boucles blondes, il se souvient qu'il n'aurait pas du naître. Ancré dans la plus profonde religion, empêcher la vie d'un enfant restait un pur blasphème. Par gentilesse, il l'a laissé vivre mais, il ne lui a jamais offert une place dans son coeur. Cet organe encore palpitant avait déjà assez offert "d'amour" aux deux ainés.

Ilana Zwitter (1777 - 1821)
Austère et inaccessible, elle ne regardait à peine son fils. L'amour d'une mère pour un enfant porté au plus profond d'elle n'était qu'un lac tari. Une plaine glacée obstruée de toute source de lumière. Les seules fois où le bleu de ses yeux se posait sur le visage de Ludwig, c'était pour lui offrir un sourire faux. Un simulacre "d'amour" renforcé par une voix trop mielleuse pour être vrai. Un masque de fausseté pour rassurer le petit... Enfant de trop. Deux avait déjà eu un effet néfaste sur son corps. Le troisième restait celui en trop. Il aurait été mieux qu'il meurt né... A défaut de vivre encore, il servira le Seigneur et les intérêts de la famille.

Erwan Zwitter (1798-1821)
L'aîné de la famille est incontestablement différent  des parents. Apprécié du village, il endossa le rôle de pasteur. Symbole d'austérité et de bienveillance pour ses prochains, il ne tolère point l'éducation stricte et cruelle offerte à son cadet. Pourtant, il ne chercha point à exprimer par des mots ou des gestes sa dépréciation de la situation. Fut un temps, il tenta l'impossible. Hélas, le Patriarche s'est montré d'avantage obstiné. Et la sévérité des coups doubla. Face au visage amer de Ludwig, la vision douloureuse des larmes d'enfant, le frère abandonna lâchement l'idée. Ses mots provoquent les maux du dernier. La seule qu'il pu faire, c'est prier qu'un jour Ludwig puisse lui aussi savourer la liberté et vivre sans crainte de la souffrance.  

Eloise Zwitter (1803 )
Douce et belle rose, elle offrait de la douceur à son cadet. Elle l'aimait son sourire, la pureté de son visage. Un être innocent qui dormait d'un sommeil profond. Un petit bourgeon qu'elle aurait aidé à pousser si elle n'était pas devenu un instrument pour la famille Zwitter. Dès ses 16 ans, sa liberté lui fut ôtée. Un noble avait des vues sur elle depuis déjà un an. Le patriarche sentant l'affaire conclue un mariage arrangé. Sa fille, si jeune, ne devait faire qu'une chose obéir. Honorer les Zwitter en acceptant de devenir l'épouse de l'homme qui possédait le double de son âge. N'ayant pas le choix, elle ne chercha pas à fuir. Elle fit face avec résolution à cette vie qui serait la sienne.. Le coeur sincèrement douloureux de voir le visage triste de Ludwig.

Ennemis
Trop, bien trop pour qu'il puisse poser les ennemis en chiffre unique. Nombreux sont ceux voulant tuer le Comte. Voir sa dépouille flamber au soleil couchant. Des hunters, des vampires et bien d'autres aimeraient que son maître ne soit plus qu'une légende. Et cela en est bien sûr, hors de question. Il ne pourra jamais voir ces hordes de chacals autres que de vulgaires rats. Des insectes dérangeants qui useraient d'une méthode efficace : pour abattre un fort, il faut détruire les fondations. Tout du moins, c'est comme cela qu'il s'y prendrait personnellement.

Alliés
Pourquoi accepterait-il dans son cercle des alliés ? S'entourer d'ami, d'amour, est une source d'ennui. Ce sont les premières choses qu'on détruit pour toucher un homme... Le détruire mentalement. Puis, comment un être comme lui peut arriver à s'en faire ? Depuis enfant, il s'est fermé à la chaleur d'une main tendue. Et ne peux accepter qu'on vienne lire son âme trop facilement. L'âme et les pensées sont solitaires... Une avalanche d'acide, de mélancolie et de rancoeur derrière un étang de "bienveillance". La relation qu'il possède avec le Comte reste plus malsaine que salutaire. Le lien entre le prédateur et sa proie. Une vision de point de vue extérieure. En vérité, c'est trop complexe pour posséder un mot exact. Ludwig n'a pas réfléchi s'il le voyait comme un ami, un allié, un amant ou plus.

Situation
L'Allemand connaît tous sur les créatures de la nuit par l'intermédiaire de l'Eternel Noble. Même s'il s'avoue qu'au jour d'aujourd'hui, ils ne sont que prévenances pour certains d'entre eux.. Les seuls qu'il a vue de ses yeux demeurent les vampires. Il se sait inattaquable par eux tant qu'il reste sous la protection de son Maître. Sans cela, depuis longtemps, ces princes de l'Ombre l'auraient réduit au silence ou auraient fait de lui une magnifique poupée de chair et de luxure..


Localisation sur l'Ombre


Demeure
L’Allemand n' a pas de demeure a proprement parlé. Il vit dans le manoir du Comte, dans une chambre où il ne manque de rien. Ses besoins sont comblés et surtout ceux vestimentaires. Il se doit d'être impeccable lorsque être de sensualité, il joue son rôle de Calice.. L'inverse ne lui ressemblerait pas... Lui si tatillon sur les étoffes qui recouvrent son corps n'offrirait pas sa gorge en gueunille.

Endroits les plus fréquentés
La journée, quant il n'a rien à faire, Ludwig apprécie se rendre à la bibliothèque, à l'Opéra, le Parc, le Marché, le Musée. Il a une certaine affection pour les lieux de détente et de culture où son esprit peut se perdre sur une douce torpeur de connaissance et de richesse. Un monde qui satisfait son côté cultivé. Dans de rares cas les salons ou des endroits riches de discussion là où il tend légèrement l'oreille.  La nuit, le repère de son maître ou sa chambre.


But(s)

Esprit nébuleux, jamais Ludwig a fait part de ses souhaits ou ses buts à vive voix. Ni en silence. Ils sont là, présents, enfermés dans une boîte de Pandore pour ne jamais ressortir. Des flammes devenues cendres. Des petits morceaux d'oublis.  

Poussières inutiles, elles n'ont pas leur place dans ce monde où son âme reste consumée par la fascination et la dévotion qu'il porte au Comte. Et l'Allemand ne compte pas les ressortir sauf s'il n'a pas le choix. Son occupation première demeure pour le moins simple : le bien-être de celui qu'il considère comme un Messie.

Il espère qu'il parvienne sincèrement à ses desseins.. Et s'il le faut, durant la lune couchante, le Calice tente de l'aider... Ecoute, observation, sournoiserie, masque du gentil homme pour cacher son rôle nocturne. Les moyens qu'il utilise sont aussi divers que variés.


Arme(s), équipement

Aucune pour l'instant.

Objets spéciaux
L'allemand n'en possède aucun.

Objets personnels
Il avait autrefois un crucifix d'argent autour du cou.. Mais depuis des années, il ne l'a plus. Depuis son enfance en fait.  Dans sa poche, un médaillon en argent se cache. Son couvercle ouvragée une fois ouvert dévoile une mèche blonde. Il n'a pu se défaire de ce bijou qui contient cette parcelle d'elle... (le médaillon)  


Questions IRL


Comment avez-vous découvert le forum? Qu'est ce qui vous a attiré?

J'ai suivi une lumière... Plus sincèrement, j'étais entre venir ou pas. Et quand j'ai vu le predef, la tentation fut trop forte XD. Comme on me le dit souvent "Je suis MASO o/"

Votre niveau de RP approximatif?
Je me débrouille. ^^


Dernière édition par Ludwig Zwitter le Jeu 21 Fév - 11:01, édité 3 fois
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